"Il n’y a pas de solution miracle tant que nous n’avons pas plus d’urgentistes formés dans notre pays, c’est une problématique qui est aujourd’hui internationale", a affirmé la ministre (ou plutôt sinistre) Buzyn en réponse au mouvement de grève débuté à la mi-mars et qui touche à présent 65 services d’urgences en France selon le collectif Inter-Urgences. Le collectif réclame l’arrêt des fermetures de lits, une hausse des rémunérations de 300 euros net et une augmentation des effectifs.
"Il n’y a pas de solution miracle tant que nous n’avons pas plus d’urgentistes formés dans notre pays, c’est une problématique qui est aujourd’hui internationale", a affirmé la ministre (ou plutôt sinistre) Buzyn en réponse au mouvement de grève débuté à la mi-mars et qui touche à présent 65 services d’urgences en France selon le collectif Inter-Urgences. Le collectif réclame l’arrêt des fermetures de lits, une hausse des rémunérations de 300 euros net et une augmentation des effectifs.