« Un hôpital « attaqué » par des militants anticapitalistes d’ultragauche « black blocs ». C’est ainsi que le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a qualifié l’intrusion de dizaines de manifestants, en marge du défilé parisien du 1er mai 2019 au sein de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière (13e). Un geste « inqualifiable », renchérissait la ministre de la Santé Agnès Buzyn, venue ce jeudi sur place pour témoigner son soutien au personnel. Une « mise en danger de patients » par « une bande de manifestants/casseurs », dénonçait encore le directeur général de l’Assistance publique - Hôpitaux de Paris, Martin Hirsch. Interrogé sur place par Le Figaro, le personnel hospitalier livre pourtant une toute autre version des faits. »
C’est Le Figaro, peu suspect d’être anti flics, qui reconnaît cela !!!
Il rapporte que les manifestants étaient rentrés dans l’hôpital pour se protéger contre la violence de la charge policière et des lacrymogènes…
« Un hôpital « attaqué » par des militants anticapitalistes d’ultragauche « black blocs ». C’est ainsi que le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a qualifié l’intrusion de dizaines de manifestants, en marge du défilé parisien du 1er mai 2019 au sein de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière (13e). Un geste « inqualifiable », renchérissait la ministre de la Santé Agnès Buzyn, venue ce jeudi sur place pour témoigner son soutien au personnel. Une « mise en danger de patients » par « une bande de manifestants/casseurs », dénonçait encore le directeur général de l’Assistance publique - Hôpitaux de Paris, Martin Hirsch. Interrogé sur place par Le Figaro, le personnel hospitalier livre pourtant une toute autre version des faits. »
C’est Le Figaro, peu suspect d’être anti flics, qui reconnaît cela !!!
Il rapporte que les manifestants étaient rentrés dans l’hôpital pour se protéger contre la violence de la charge policière et des lacrymogènes…