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« Comment un observateur se déplaçant à la vitesse de la lumière (aux côtés du photon lumineux) voit-il le monde ? » ou le paradoxe de la relativité restreinte

18 décembre 2018, 00:13, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

Bonjour/Bonsoir.
— -De dire que la vitesse de la lumière est très rapide, ne veut pas dire grand chose, car on devrait dire que c’est une vitesse de référence, et elle EST ce quelle EST. Si je multipliais cette vitesse par mille, un million, un milliard et même plus, et bien cette vitesse serait toujours une vitesse de référence indépassable. D’ailleurs cette vitesse de la lumière n’est pas si grande que cela car si je peux voir des objets les plus lointain que nous puissions voir, et bien il faut voir ces objets lointains avec un recule de temps énorme de plusieurs milliards d’années. Ainsi plus nous voyons loin, et plus nous voyons le passé de notre propre monde. Ce qui est énorme n’est pas cette vitesse de référence de 300|000 km/s, mais le nombre de kilomètres parcouru qui lui est gigantesque, car l’espace est immensément très grand, malgré que notre vision et détection soient très limitées, car nous voyons tout autour de nous qu’une portion de notre vrai "Monde". Si la vitesse de la lumière était infini et donc instantané, nous ne pourrions pas voir les passés de notre Monde, car tout ce que l’on verrait serait "QUE" du "PRÉSENT", sans décalage dans le temps. Il y a donc dans cette vitesse limitée de la lumière une certaine beauté à voir des vrais passés, et donc voir notre propre évolution, Ce qui est FOU d’ailleurs, et qui est vraiment fantastique !!! Cette vitesse ne me donne pas le vertige, d’autant qu’il faut au soleil et son rayonnement de lumière plus de 8 minutes à venir sur notre petite terre, donc cette vitesse n’est pas si grande que cela mais ce sont les distances qui elles sons monstrueuses et gigantesque. Cela montre par cette vitesse dite très grande, que présent et passé ne se mélangent pas, Le présent comme les passés sont en fait des bornes que l’on place sur le temps, L’instant présent est de toutes façons toujours faux, car il n’a pas de durée, et il en va de même pour les passés, car ce que l’on reçoit du passé sont des flashs, et non une continuité, donc le présent bouge tout le temps comme également les passés. En une année presque rien ne bouge, sauf que nous avons fait une petite révolution qui celle là d’ordre physique et non révolutionnaire, c’est à dire un tour complet autour de notre étoile le soleil. Mais que pouvons nous constater sur les galaxies les plus lointaines en tant que mouvement ?? Et bien strictement rien, comme si les photons venant de très loin étaient une sorte d’image fixe où rien ne bouge. De scruter les galaxies les plus lointaines ne permet pas vraiment d’y voir les étoiles, je crois, alors que l’on a une image flou et incomplète sans vrai détail. Les galaxies un peu plus proche de nous, nous permettent d’y voir les étoiles, mais au niveau du mouvement, cela reste encore une image figée, Dans notre propre galaxie, nous ne voyons pas les exoplanètes, alors le mouvement est au ralentit, et reste encore comme une image. Plus nous nous rapprochons de notre échelle qui est le système solaire, et là oui nous pouvons voir le mouvement, car la lune se déplace, comme nous d’ailleurs, et est sans doute perceptible, et c’est même sûr que nous pouvons voir notre propre rotation par rapport au soleil. Plus nous allons descendre dans cet infiniment petit et plus les mouvements vont être rapides, jusqu’à donner l’impression que l’enveloppe de l’atome est une réalité sachant que ce n’est qu’une sphère virtuelle ou les électrons définissent cette enveloppe par leurs mouvements rapide. De l’infiniment grand à l’infiniment petit la vitesse de la lumière est censée être la même, et cela est franchement troublant, et pourtant c’est ce qui est dit, il en va de même pour le temps si on fait abstraction d’une certaine quantité de matière. Le vide sans matière du grand n’est pas plus grand que le vide de l’atome, et ce sans calculer les proportions, mais le contenu de l’espace qui est cet Éther de M.Einstein devrait être le même, si les masses sont presque absentes, et ce à toutes les échelles de notre "Monde", du moins dans notre portion de monde où nous regardons autour de nous.

— -Maintenant peut-on parler de vitesse de la lumière référence en tant que "VRAIE" vitesse, car tout référentiel en mouvement ou immobile, perçoit cette même vitesse, et donc que l’inertie ou le mouvement ne changent strictement rien à cette perception de vitesse de la lumière. Si nous percevons toujours cette même vitesse de la lumière indépendamment des mouvements qui se rapportent aux différents référentiels, cela veut simplement dire que cette vitesse de la lumière n’est pas une "VRAIE" vitesse, mais une notion que nous ne savons pas expliquer et appréhender, comme si cette vitesse était hors de notre réalité, et que les photons ne sont pas visible normalement comme des objets physiques, mais que ces particules sont dans un référentiel autre que notre réalité, du moins que les photons sont bien dans notre réalité, mais leur propagation soit hors de notre réalité. Pas facile à comprendre et expliquer... Pour le dire autrement, la vitesse de la lumière n’appartient pas à notre réalité, mais à un référentiel qui vient se superposer au notre. Ainsi peut importe les mouvements rapides ou lents des référentiels de notre réalité, chaque référentiel verra la vitesse de la lumière identiquement, car cette vitesse lumière n’appartient aux référentiels de notre réalité. (je n’ai pas fumé).

— -L’expression de "rayon-lumineux" employée, est assez curieuse car en quoi un photon possède t-il un rayon, mais cela vient sûrement des photons émis de sources lumineuses, où la source ait dit qu’elle rayonne tout autour d’elle et par là même, envoie des particules de lumière qui sont sans rapport avec un rayon quelconque. Donc rayon et rayonnement sont sans rapport, et que l’expression "rayonnement lumineux" est plus juste et vrai que "rayon lumineux". D’une part rayon sous-entend une distance fixe, et rayonnement ne désigne pas de distance, mais une façon d’émettre dans toutes les directions. Mais peut être que rayons lumineux est plus poétique que rayonnements lumineux. Va savoir Charles !!!

— -Dans cette phrase "On ne peut pas raisonner sur quelque chose se déplaçant à la vitesse de la lumière comme on raisonne sur un objet, sur une chose.". Et bien oui on ne peut pas raisonner de la même façon, car la vitesse de la lumière n’est pas une "VRAIE" vitesse comme nous pouvons le penser et le croire, car c’est comme si elle était dans un autre référentiel qui ne serait pas celui de notre réalité. Donc des référentiels de notre réalité totalement indépendants mais qui se superposent avec un référentiel de la lumière qui n’est pas notre réalité. Nous ne comprenons strictement rien de cette vitesse de la lumière, car elle donne même des paradoxes, mais il ne faut pas considérer que cette référence de vitesse soit dans nos référentiels, mais hors réalité, et comme nous ne pouvons pas sortir de notre réalité, et bien nous ne comprenons rien à cette notion hors réalité. En comparaison, on peut dire que l’esprit, le raisonnement et autres du même ordre, sont aussi hors réalité et sont aussi un référentiel spécial à part, qui ne se mélange pas avec notre réalité, et pourtant nous utilisons nos raisonnements, car c’est le but même de notre savoir qui en détermine les sciences. D’ailleurs dans ce référentiel de raisonnement et d’esprit, le référentiel de temps et donc de vitesse de la lumière n’apparaît pas, car l’esprit est détaché du temps. Nous ne nous posons pas de question sur les flashs de temps où nous avons eu telle idée ou telle autre. Le temps est indépendant de nos idées et est un référentiel pourtant à part, et pourtant nous utilisons bien nos réflexions, pour nous faire avancer dans notre réalité, et malgré que l’esprit ne soit pas une réalité physique !!!

— -Cette petite formule (1-v²/c²) donnée, n’est qu’un palliatif pour éviter des aberrations atteignant ou dépassant la vitesse référence de la lumière, mais elle n’est qu’un frein adaptée pour notre réalité et est sans rapport avec la hors réalité. Cette vitesse de la lumière étant dans un autre référentiel que notre réalité, n’est pas une vraie vitesse, mais une notion sans rapport avec une distance et un temps donnés. Il n’y pas de rapport entre ces deux données !!!

— -Sur ce que dis "DUMONTAIS, répondant en lieu et place d’Einstein : : (...) "
— Aucune interaction n’est instantanée
— Il y a une vitesse maximum possible et c’est la vitesse de la lumière.
— La vitesse de la lumière est la même pour tous les observateurs.
— L’espace et le temps sont relatifs."
Et bien sur ces affirmations, je ne suis pas tout à fait d’accord, voir pire encore car elle sont toutes fausse pour ma part... Déjà dans ces 5 énumérations certaines sont contradictoires avec d’autres. Si je devais développer, et bien j’écrirai un bouquin et non un commentaire, qui serait de toutes façons limité au sujet de l’article qui est la vitesse de la lumière et le regard du photon en tant qu’humain possédant un cerveau ayant des neurones valides et surtout des lien qu’il y a entre ces neurones, car sans lien entre eux, les neurones ne servent à rien... Récapitulons depuis le début...

— -Une petite rectification de mon point de vue sur l’énoncé de Lee SMOLIN "Albert Einstein a sans doute été le physicien le plus important du XXe siècle." Et bien je dirai que M.Einstein est le plus important physicien de tous les temps, car un être surdoué et marginal dans sa façon de réformer les notions, ce qui semble une anormalité, mais je pense aussi que c’était un vrai "FILOU", car il n’a pas expliqué toutes ses idées, mais à gardé pour lui ce qu’il avait compris et imaginé de certaines notions physique. Les équations de M.Einstein ne sont que les transcriptions de son imagination et sa vision de comprendre l’espace et son "Éther" agissant sur le temps comme sur les masses. Il est d’ailleurs totalement inutile d’aller chercher des bosons même de Higgs pour dire que les masses sont relatives et ne sont pas des attributs intrinsèques des objets et des particules...
A chaque fois que les physiciens ou scientifiques parlent de cette notion d’espace, et bien ils se plantent complètement, car ce n’est pas l’espace dont il est question, mais de son contenu qui est cet "Éther", et peu importe ce qu’est cette substance "d’Éther", car l’espace lui n’est strictement "RIEN", c’est comme si on parlait d’une bouteille rempli d’eau ou d’une autre substance, et bien ce n’est pas de la bouteille dont il faut parler mais de son contenu, car les raccourcis amènent à ne rien comprendre, car si je mets un sucre dans cette bouteille rempli d’eau, ce n’est absolument pas la bouteille qui va faire fondre le sucre mais son contenu. Il est pénible que ces grands personnages scientifiques parlent aussi mal en faisant des raccourcis trop simplistes. Si on peut compresser l’eau comme aussi dilater cette eau (chose plus difficile à faire), et bien cette bouteille reste ce quelle est, c’est à dire rien qu’un contenant, et donc l’espace ne se déforme en rien, mais son contenu, lui varie !!! La notion de géométrie de l’espace est aussi une absurdité, car il faudrait dire la géométrie de "l’Éther" de l’espace et pour la mécanique quantique, la géométrie du "VIDE" de l’espace, et pour cette dernière géométrie, et bien elle n’existe pas vraiment, car elle est incapable d’ailleurs de dire quoi que ce soit, car à cette échelle il est trop difficile de comprendre ce que peut être un environnement de l’espace, comme de vitesse et aussi de temps. C’est sûrement comme l’environnement d’un gaz quelconque et donc d’une échelle supérieure, où les molécules ou atomes, se déplacent en désordonnés dans un chaos non maîtrisable. De parler de géométrie du contenu de l’espace dans un environnement d’un gaz, ne veut rien dire, et bien au niveau plus bas c’est encore pire, et pourtant le contenu de l’espace est censé être le même, même avec les particules virtuelles, bien sûr, ce qui est autre chose.

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JFP/Jean-François POULIQUEN.

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