Séparer un corps en parties aux frontières nettes peut, par exemple sembler simple. D’Arcy Thomson répond dans « Forme et croissance » : « L’organisme vivant est plutôt un tout, entier et indivisible, où nous ne trouverons jamais la moindre ligne de séparation stricte entre la tête et le corps, entre le tendon et le muscle, entre le tendon et l’os
Séparer un corps en parties aux frontières nettes peut, par exemple sembler simple. D’Arcy Thomson répond dans « Forme et croissance » : « L’organisme vivant est plutôt un tout, entier et indivisible, où nous ne trouverons jamais la moindre ligne de séparation stricte entre la tête et le corps, entre le tendon et le muscle, entre le tendon et l’os