L’absurdité de la notion de paramètre climatologique de « température moyenne planétaire » qui n’a rien de scientifique
1er octobre 2018, 07:08, par Robert Paris
Eh bien, parce que justement la température est un paramètre de nature différente. Elle marque seulement un niveau d’équilibre, et même de comparaison entre deux états d’équilibre, alors que le climat est marqué par le déséquilibre permanent. Elle a un sens dans un phénomène stable alors que le climat est instable. Elle n’est pas un paramètre additif : jamais deux températures ne peuvent s’ajouter.
On ne peut pas définir de température de surface de la Terre car il faudrait effectuer une moyenne entre température de l’air, de l’eau et de la terre, ce qui n’a aucun sens car ce ne sont pas les mêmes masses qui sont en jeu et que la même température signifie, dans ces trois cas, des quantités de chaleur différentes.
Et je n’ai pas épuisé les raisons de ne pas raisonner ainsi en termes de température globale. Il faudrait notamment ajouter que ce n’est pas le niveau de température qui joue mais la différence de température, son changement. Et qu’on ne peut pas mettre de côté les autres paramètres comme pression, vent, pluviosité, etc. Le propre du climat, c’est justement de dépendre d’au moins trois paramètres et d’être, du coup, chaotique.
Eh bien, parce que justement la température est un paramètre de nature différente. Elle marque seulement un niveau d’équilibre, et même de comparaison entre deux états d’équilibre, alors que le climat est marqué par le déséquilibre permanent. Elle a un sens dans un phénomène stable alors que le climat est instable. Elle n’est pas un paramètre additif : jamais deux températures ne peuvent s’ajouter.
On ne peut pas définir de température de surface de la Terre car il faudrait effectuer une moyenne entre température de l’air, de l’eau et de la terre, ce qui n’a aucun sens car ce ne sont pas les mêmes masses qui sont en jeu et que la même température signifie, dans ces trois cas, des quantités de chaleur différentes.
Et je n’ai pas épuisé les raisons de ne pas raisonner ainsi en termes de température globale. Il faudrait notamment ajouter que ce n’est pas le niveau de température qui joue mais la différence de température, son changement. Et qu’on ne peut pas mettre de côté les autres paramètres comme pression, vent, pluviosité, etc. Le propre du climat, c’est justement de dépendre d’au moins trois paramètres et d’être, du coup, chaotique.