Tout en cherchant à se concilier les autorités Carlos Ghosn souhaite un désengagement complet de l’État et veut récupérer les 15% de participation, ce qui permettrait une véritable fusion entre Renault et Nissan.
L’exécutif réfléchit donc à une nouvelle architecture pour le groupe, mission confiée au secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, ancien membre du conseil d’administration du constructeur… celui-là même qui aurait été ciblé par la sécurité interne de Renault à l’occasion de l’affaire des faux espions. C’est lui désormais qui conçoit l’avenir de la gouvernance du groupe. Avec ou sans Carlos Ghosn.
Tout en cherchant à se concilier les autorités Carlos Ghosn souhaite un désengagement complet de l’État et veut récupérer les 15% de participation, ce qui permettrait une véritable fusion entre Renault et Nissan.
L’exécutif réfléchit donc à une nouvelle architecture pour le groupe, mission confiée au secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, ancien membre du conseil d’administration du constructeur… celui-là même qui aurait été ciblé par la sécurité interne de Renault à l’occasion de l’affaire des faux espions. C’est lui désormais qui conçoit l’avenir de la gouvernance du groupe. Avec ou sans Carlos Ghosn.