APOCALYPSE CAPITALISTE OU TSUNAMI PROLETARIEN MONDIAL ?
A cent ans de la Révolution russe, la situation est plus que mûre pour que le prolétariat international, c’est-à-dire les travailleurs manuels et intellectuels, mette fin au système capitaliste qui règne sur 7 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants.
Le système plonge des millions d’êtres humains dans une crise sans fin, où la seule alternative est chômage de masse ou travail « payé » une misère, tandis que les milliardaires et millionnaires en dollars se multiplient des USA à la Chine, en passant par la Russie.
Le système non seulement détruit lentement mais sûrement la planète, son écosystème et la biosphère, mais il menace de détruire ses habitants dans une apocalypse nucléaire.
Aujourd’hui, le monde capitaliste est un monde divisé entre impérialismes antagonistes qui inévitablement s’affronteront sur le plan militaire. D’un côté les USA et ses alliés, de l’autre la Chine et la Russie. Les USA confrontés au développement vertigineux de la puissance capitaliste chinoise inévitablement chercheront à la détruire, comme Trump parle de « détruire la Corée du Nord », et peut-être demain l’Iran, si celle-ci devenait une puissance nucléaire.
Entre le capitalisme américain, le capitalisme chinois ou russe, les travailleurs n’ont pas à choisir. Ils n’ont pas à choisir entre la peste et le choléra, mais à agir. Et vite !
L’heure n’est plus à la passivité au niveau social, mais à la réaction contre le danger majeur : le capitalisme lui-même. Le prolétariat ne doit pas se laisser paralyser par la montée des périls, mais réagir et vite !
Face à la perspective d’une apocalypse capitaliste, il n’y a plus qu’une seule perspective réaliste : un tsunami prolétarien à l’échelle mondiale, une vague révolutionnaire prolétarienne auprès de laquelle la révolution d’octobre apparaîtrait comme un petit séisme historique.
Célébrer aujourd’hui « Octobre 1917 », puis en 2018 et 1919 d’autres tentatives révolutionnaires comme en Allemagne et Hongrie, c’est pour les exploités du monde entier s’engager dans une lutte sans merci contre le capitalisme sur tous les continents et dans tous les pays. De cette lutte, qui sera vraiment « finale » si elle l’emporte sur un système criminel, dépend le sort même de l’humanité toute entière, quelles que soient sa couleur de peau, sa « patrie », sa « religion » et son « genre ».
100 ans après la révolution d’octobre 1917
APOCALYPSE CAPITALISTE OU TSUNAMI PROLETARIEN MONDIAL ?
A cent ans de la Révolution russe, la situation est plus que mûre pour que le prolétariat international, c’est-à-dire les travailleurs manuels et intellectuels, mette fin au système capitaliste qui règne sur 7 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants.
Le système plonge des millions d’êtres humains dans une crise sans fin, où la seule alternative est chômage de masse ou travail « payé » une misère, tandis que les milliardaires et millionnaires en dollars se multiplient des USA à la Chine, en passant par la Russie.
Le système non seulement détruit lentement mais sûrement la planète, son écosystème et la biosphère, mais il menace de détruire ses habitants dans une apocalypse nucléaire.
Aujourd’hui, le monde capitaliste est un monde divisé entre impérialismes antagonistes qui inévitablement s’affronteront sur le plan militaire. D’un côté les USA et ses alliés, de l’autre la Chine et la Russie. Les USA confrontés au développement vertigineux de la puissance capitaliste chinoise inévitablement chercheront à la détruire, comme Trump parle de « détruire la Corée du Nord », et peut-être demain l’Iran, si celle-ci devenait une puissance nucléaire.
Entre le capitalisme américain, le capitalisme chinois ou russe, les travailleurs n’ont pas à choisir. Ils n’ont pas à choisir entre la peste et le choléra, mais à agir. Et vite !
L’heure n’est plus à la passivité au niveau social, mais à la réaction contre le danger majeur : le capitalisme lui-même. Le prolétariat ne doit pas se laisser paralyser par la montée des périls, mais réagir et vite !
Face à la perspective d’une apocalypse capitaliste, il n’y a plus qu’une seule perspective réaliste : un tsunami prolétarien à l’échelle mondiale, une vague révolutionnaire prolétarienne auprès de laquelle la révolution d’octobre apparaîtrait comme un petit séisme historique.
Célébrer aujourd’hui « Octobre 1917 », puis en 2018 et 1919 d’autres tentatives révolutionnaires comme en Allemagne et Hongrie, c’est pour les exploités du monde entier s’engager dans une lutte sans merci contre le capitalisme sur tous les continents et dans tous les pays. De cette lutte, qui sera vraiment « finale » si elle l’emporte sur un système criminel, dépend le sort même de l’humanité toute entière, quelles que soient sa couleur de peau, sa « patrie », sa « religion » et son « genre ».
Pantopolis, 24 sept. 2017.