Le dossier franco-belge dit « du Kazakhgate » a connu, lundi 7 mai, un rebondissement spectaculaire en Belgique. Le parquet de Mons a mis en examen le ministre d’Etat et ancien président du Sénat Armand De Decker, pour trafic d’influence dans l’enquête belge de cette affaire portant sur des soupçons de corruption en marge de contrats commerciaux entre la France et le Kazakhstan. M. De Decker est soupçonné d’avoir fait un intense lobbying en faveur du milliardaire d’origine kazakhe Patokh Chodiev – devenu belge en 1997 – et de deux de ses associés, en 2010 et en 2011.
Redevenu avocat, Armand De Decker, homme politique libéral de premier plan, était le conseiller du trio, qui a obtenu une transaction pénale à hauteur de quelque 22 millions, en échange de l’abandon des poursuites le visant. M. De Decker a touché 730 000 euros pour ses services. « Des honoraires pour l’important travail de conseiller stratégique que j’ai accompli », a-t-il constamment expliqué, sans apparemment convaincre la justice, celle-ci ayant donc estimé qu’il existait assez de motifs pour l’inculper, à l’issue d’investigations – non achevées –, tant en France qu’en Belgique. Le procureur général de Mons a estimé que l’ancien ministre avait bel et bien usé de son influence politique au profit des trois hommes d’affaires.
Mais en France, il n’y a pas de procès pour corruption des dirigeants par ceux du Kazakhstan !!!
Le dossier franco-belge dit « du Kazakhgate » a connu, lundi 7 mai, un rebondissement spectaculaire en Belgique. Le parquet de Mons a mis en examen le ministre d’Etat et ancien président du Sénat Armand De Decker, pour trafic d’influence dans l’enquête belge de cette affaire portant sur des soupçons de corruption en marge de contrats commerciaux entre la France et le Kazakhstan. M. De Decker est soupçonné d’avoir fait un intense lobbying en faveur du milliardaire d’origine kazakhe Patokh Chodiev – devenu belge en 1997 – et de deux de ses associés, en 2010 et en 2011.
Redevenu avocat, Armand De Decker, homme politique libéral de premier plan, était le conseiller du trio, qui a obtenu une transaction pénale à hauteur de quelque 22 millions, en échange de l’abandon des poursuites le visant. M. De Decker a touché 730 000 euros pour ses services. « Des honoraires pour l’important travail de conseiller stratégique que j’ai accompli », a-t-il constamment expliqué, sans apparemment convaincre la justice, celle-ci ayant donc estimé qu’il existait assez de motifs pour l’inculper, à l’issue d’investigations – non achevées –, tant en France qu’en Belgique. Le procureur général de Mons a estimé que l’ancien ministre avait bel et bien usé de son influence politique au profit des trois hommes d’affaires.
Mais en France, il n’y a pas de procès pour corruption des dirigeants par ceux du Kazakhstan !!!