Les représentants des peuples autochtones demandent aussi à être représentés à la Commission départementale des mines pour avoir leur mot à dire sur les choix de développement. Enfin, ils militent pour "l’éradication de l’orpaillage illégal“, dont certain Amérindiens sont les premières victimes. De par leur alimentation principalement constituée de poissons, les habitants des hauts fleuves présentent les taux d’imprégnation au mercure les plus forts de Guyane, qui dépassent souvent la limite maximale retenue par l’OMS.
Les Amérindiens demandent également comme l’ensemble des Guyanais un meilleur accès à la santé et à l’éducation. La création de centres délocalisés de soins et de prévention dans chaque village du Haut-Maroni est souhaitée. A l’heure actuelle, seuls deux villages comptent un centre de ce type. Dans les autres, les consultations effectuées lors de tournées médicales en pirogue se font sous des carbets communautaires, au su et au vu de tous.
Les représentants des peuples autochtones demandent aussi à être représentés à la Commission départementale des mines pour avoir leur mot à dire sur les choix de développement. Enfin, ils militent pour "l’éradication de l’orpaillage illégal“, dont certain Amérindiens sont les premières victimes. De par leur alimentation principalement constituée de poissons, les habitants des hauts fleuves présentent les taux d’imprégnation au mercure les plus forts de Guyane, qui dépassent souvent la limite maximale retenue par l’OMS.
Les Amérindiens demandent également comme l’ensemble des Guyanais un meilleur accès à la santé et à l’éducation. La création de centres délocalisés de soins et de prévention dans chaque village du Haut-Maroni est souhaitée. A l’heure actuelle, seuls deux villages comptent un centre de ce type. Dans les autres, les consultations effectuées lors de tournées médicales en pirogue se font sous des carbets communautaires, au su et au vu de tous.