Le Monde relève « un véritable fossé d’incompréhension entre, d’un côté, un mouvement qui, aussi pacifique soit-il, se sent porteur d’une ambition historique et un gouvernement dont les jours sont comptés ». En même temps, le journal, politiquement proche du gouvernement PS, prétend que ce dernier « ne peut aller au-delà du possible ».
En revanche, ce qui est acté par le gouvernement, comme le souligne le préfet Martin Jaeger, est l’envoi de « 25 policiers et 23 gendarmes [qui] vont renforcer les effectifs de la police nationale et de la gendarmerie. À cela s’ajoute la fidélisation d’un escadron de gendarmes mobiles à Cayenne ».
Paris veut rapidement mettre fin la grève guyanaise, avant qu’elle ne provoque des luttes par solidarité plus larges en métropole. Le PS a instauré un état d’urgence qui donne des pouvoirs illimités à la police en métropole, ont servi à réprimer les jeunes et les travailleurs en particulier pendant les manifestations contre la loi travail. Toutefois, la première manifestation de soutien aux grévistes guyanais a réuni hier une centaine de personnes sur Paris.
Le bilan de la lutte contre la loi travail souligne que les travailleurs en Guyane doivent prendre le contrôle de leur lutte et la développer en une lutte politique plus large de la classe ouvrière, en métropole et dans l’outre-mer, contre le PS et toute la classe dirigeante française.
Le Monde relève « un véritable fossé d’incompréhension entre, d’un côté, un mouvement qui, aussi pacifique soit-il, se sent porteur d’une ambition historique et un gouvernement dont les jours sont comptés ». En même temps, le journal, politiquement proche du gouvernement PS, prétend que ce dernier « ne peut aller au-delà du possible ».
En revanche, ce qui est acté par le gouvernement, comme le souligne le préfet Martin Jaeger, est l’envoi de « 25 policiers et 23 gendarmes [qui] vont renforcer les effectifs de la police nationale et de la gendarmerie. À cela s’ajoute la fidélisation d’un escadron de gendarmes mobiles à Cayenne ».
Paris veut rapidement mettre fin la grève guyanaise, avant qu’elle ne provoque des luttes par solidarité plus larges en métropole. Le PS a instauré un état d’urgence qui donne des pouvoirs illimités à la police en métropole, ont servi à réprimer les jeunes et les travailleurs en particulier pendant les manifestations contre la loi travail. Toutefois, la première manifestation de soutien aux grévistes guyanais a réuni hier une centaine de personnes sur Paris.
Le bilan de la lutte contre la loi travail souligne que les travailleurs en Guyane doivent prendre le contrôle de leur lutte et la développer en une lutte politique plus large de la classe ouvrière, en métropole et dans l’outre-mer, contre le PS et toute la classe dirigeante française.