D’après le plan d’urgence, 400 millions d’euros ont été alloués à l’éducation et 85 millions d’euros à la sécurité. Mais « la santé, l’éducation, l’énergie, la culture, le social sont lésés, trop de choses ne vont pas, ce n’est pas possible », estimait Davy Rimane, un membre du collectif Pou la Gwiyann dékolé, dimanche soir sur Outre-mer 1ère.
Il détaille « un exemple tout simple », au sujet de l’hôpital de Cayenne. « La dette fournisseur de l’hôpital de Cayenne est de 39 millions d’euros mais l’Etat met 20 millions sur la table », a-t-il assuré. Même constat pour l’éducation : le plan prévu pour la rentrée 2018 dans les collèges et lycée n’est, selon lui, pas financé.
D’après le plan d’urgence, 400 millions d’euros ont été alloués à l’éducation et 85 millions d’euros à la sécurité. Mais « la santé, l’éducation, l’énergie, la culture, le social sont lésés, trop de choses ne vont pas, ce n’est pas possible », estimait Davy Rimane, un membre du collectif Pou la Gwiyann dékolé, dimanche soir sur Outre-mer 1ère.
Il détaille « un exemple tout simple », au sujet de l’hôpital de Cayenne. « La dette fournisseur de l’hôpital de Cayenne est de 39 millions d’euros mais l’Etat met 20 millions sur la table », a-t-il assuré. Même constat pour l’éducation : le plan prévu pour la rentrée 2018 dans les collèges et lycée n’est, selon lui, pas financé.