Soixante-dix femmes sont mortes depuis le début de l’année 2019, tuées par leur conjoint ou ex-conjoint selon le Collectif des proches et familles de victimes de féminicides. Pour tenter d’éviter ces drames, ce collectif lance dimanche 30 juin, dans le journal Le Parisien, un appel à destination du gouvernement.
"On aimerait que notre gouvernement nous entende et arrête ce massacre", affirme sur franceinfo Céline Lolivret, porte-parole du Collectif des proches et familles de victimes de féminicides. "On aimerait sortir du silence en tant que familles de victimes de féminicides. Aujourd’hui, aucun de nos ministres et notre président ne parlent des féminicides", déplore Céline Lolivret. "Toutes les femmes qui sont décédées ont en moyenne porté plainte quatre à cinq fois", souligne la porte-parole. "Aujourd’hui, quand une femme va porter plainte, sa plainte se transforme en main courante. On aurait peut-être pu éviter ces drames", se désole-t-elle.
Soixante-dix femmes sont mortes depuis le début de l’année 2019, tuées par leur conjoint ou ex-conjoint selon le Collectif des proches et familles de victimes de féminicides. Pour tenter d’éviter ces drames, ce collectif lance dimanche 30 juin, dans le journal Le Parisien, un appel à destination du gouvernement.
"On aimerait que notre gouvernement nous entende et arrête ce massacre", affirme sur franceinfo Céline Lolivret, porte-parole du Collectif des proches et familles de victimes de féminicides. "On aimerait sortir du silence en tant que familles de victimes de féminicides. Aujourd’hui, aucun de nos ministres et notre président ne parlent des féminicides", déplore Céline Lolivret. "Toutes les femmes qui sont décédées ont en moyenne porté plainte quatre à cinq fois", souligne la porte-parole. "Aujourd’hui, quand une femme va porter plainte, sa plainte se transforme en main courante. On aurait peut-être pu éviter ces drames", se désole-t-elle.