Le sionisme d’extrême droite peut-il conduire au nazisme ?
13 octobre 2018, 09:10
Le gouvernement israélien ne se contente pas de museler les médias nationaux et voudrait en faire autant dans le monde.
Jeudi 11 octobre, Aliza Bin Noun, ambassadrice d’Israël à Paris, a envoyé à la présidente de France Télévision, Delphine Ernotte, une lettre demandant l’annulation de la diffusion sur France 2 d’un reportage de l’émission « Envoyé spécial » consacré aux milliers de manifestants blessés par balle le long de la bande de Gaza depuis la fin de mars, dans le cadre de « la marche du retour ».
Titré « Gaza, une jeunesse estropiée » et diffusé jeudi soir, le reportage met au jour ce que d’innombrables médias, français et étrangers ont déjà souligné au cours de ces derniers mois : l’usage systématique des balles réelles contre les manifestants, que ceux-ci tentent de franchir la barrière ou qu’ils se tiennent à plusieurs centaines de mètres, pour certains.
Le gouvernement israélien ne se contente pas de museler les médias nationaux et voudrait en faire autant dans le monde.
Jeudi 11 octobre, Aliza Bin Noun, ambassadrice d’Israël à Paris, a envoyé à la présidente de France Télévision, Delphine Ernotte, une lettre demandant l’annulation de la diffusion sur France 2 d’un reportage de l’émission « Envoyé spécial » consacré aux milliers de manifestants blessés par balle le long de la bande de Gaza depuis la fin de mars, dans le cadre de « la marche du retour ».
Titré « Gaza, une jeunesse estropiée » et diffusé jeudi soir, le reportage met au jour ce que d’innombrables médias, français et étrangers ont déjà souligné au cours de ces derniers mois : l’usage systématique des balles réelles contre les manifestants, que ceux-ci tentent de franchir la barrière ou qu’ils se tiennent à plusieurs centaines de mètres, pour certains.