Le physicien Bitzakis écrit dans « Physique contemporaine et Matérialisme dialectique » :
« Ainsi, les sciences ont une portée philosophique. Et tout d’abord, une portée ontologique : une ontologie antispéculative est une « science » de l’être. Elle doit donc aborder des questions telles que les attributs généraux de la matière et du mouvement, l’espace et le temps, la causalité, les relations entre le fini et l’infini, etc…. La physique, la cosmologie, la biologie et les mathématiques débouchent sur des questions philosophiques, ce sont des « sciences philosophiques » et par excellence des « sciences ontologiques ». »
Le physicien Bitzakis écrit dans « Physique contemporaine et Matérialisme dialectique » :
« Ainsi, les sciences ont une portée philosophique. Et tout d’abord, une portée ontologique : une ontologie antispéculative est une « science » de l’être. Elle doit donc aborder des questions telles que les attributs généraux de la matière et du mouvement, l’espace et le temps, la causalité, les relations entre le fini et l’infini, etc…. La physique, la cosmologie, la biologie et les mathématiques débouchent sur des questions philosophiques, ce sont des « sciences philosophiques » et par excellence des « sciences ontologiques ». »