Pourquoi patronat et gouvernement ne cèdent pas devant les grèves et manifestations ?
31 mai 2016, 09:08
La déculottade syndicale commence...
Philippe Martinez avait commencé à changer de ton ce dimanche, se félicitant que le Premier ministre lui ait téléphoné la veille. Ce lundi, le secrétaire général de la CGT a franchi un nouveau pas, en affirmant être prêt à « rediscuter » avec le gouvernement et ce « sans préalable » du projet de loi travail.
l n’a plus comme il y a quelques jours encore exigé le « retrait » du texte, mais s’est dit ouvert à la discussion, énumérant néanmoins « quatre points » majeurs de désaccord : l’inversion de la hiérarchie des normes avec la prééminence des accords d’entreprise sur l’organisation du travail dans l’article 2 du projet de loi, le périmètre des licenciements économiques, l’instauration d’un référendum en cas d’accord minoritaire et la réforme de la médecine du travail.
La déculottade syndicale commence...
Philippe Martinez avait commencé à changer de ton ce dimanche, se félicitant que le Premier ministre lui ait téléphoné la veille. Ce lundi, le secrétaire général de la CGT a franchi un nouveau pas, en affirmant être prêt à « rediscuter » avec le gouvernement et ce « sans préalable » du projet de loi travail.
l n’a plus comme il y a quelques jours encore exigé le « retrait » du texte, mais s’est dit ouvert à la discussion, énumérant néanmoins « quatre points » majeurs de désaccord : l’inversion de la hiérarchie des normes avec la prééminence des accords d’entreprise sur l’organisation du travail dans l’article 2 du projet de loi, le périmètre des licenciements économiques, l’instauration d’un référendum en cas d’accord minoritaire et la réforme de la médecine du travail.