La Saint-Barthélemy, le massacre des Protestants de France, n’était pas une simple guerre de religion mais une contre-révolution sociale
19 avril 2016, 14:28, par Robert Paris
Cependant, Calvin ne change pas de choix politique et social pour autant et n’abandonnera jamais le réformisme, même lorsqu’il est patent qu’il ne mène qu’au bain de sang.
Calvin écrit à Antoine de Navarre, qui a révélé sa faiblesse personnelle son absence de souhait de prendre la tête des protestants et la tête du pays. Il l’encourage à jouer son rôle de premier prince de sang de France pour exiger la régence. Il le traite de « nouveau Moïse » ! Mais pas moyen de lui en insuffler pour autant l’énergie et le courage…
Même le « réformiste » catholique Michel de L’Hospital, nommé chancelier pour faire espérer des changements aux protestants modérés, intervient aux Etats généraux pour affirmer que ce qui nuit à la France c’est l’existence d’une scission religieuse et qu’il faut y mettre fin absolument et rapidement !
Cependant, Calvin ne change pas de choix politique et social pour autant et n’abandonnera jamais le réformisme, même lorsqu’il est patent qu’il ne mène qu’au bain de sang.
Calvin écrit à Antoine de Navarre, qui a révélé sa faiblesse personnelle son absence de souhait de prendre la tête des protestants et la tête du pays. Il l’encourage à jouer son rôle de premier prince de sang de France pour exiger la régence. Il le traite de « nouveau Moïse » ! Mais pas moyen de lui en insuffler pour autant l’énergie et le courage…
Même le « réformiste » catholique Michel de L’Hospital, nommé chancelier pour faire espérer des changements aux protestants modérés, intervient aux Etats généraux pour affirmer que ce qui nuit à la France c’est l’existence d’une scission religieuse et qu’il faut y mettre fin absolument et rapidement !