La Saint-Barthélemy, le massacre des Protestants de France, n’était pas une simple guerre de religion mais une contre-révolution sociale
29 mars 2016, 18:41
Il est significatif que le premier synode protestant de France se tienne contre la volonté de Calvin et qu’apprenant que le synode veut publier une « confession publique », il écrive :
« Si quelques uns ont un si grand désir de publier une Confession, nous prenons les anges et les hommes à témoins que cette ardeur nous déplait extrêmement. »
N’oublions pas que les grandes figures du protestantisme sont quasiment toutes des adeptes de Calvin et notamment l’amiral de Coligny. Cela explique la politique des dirigeants protestants dans les événements qui vont précéder la Saint-Barthélemy. Ces dirigeants vont avoir un aveuglement remarquable devant les menées de la cour royale…
Il est significatif que le premier synode protestant de France se tienne contre la volonté de Calvin et qu’apprenant que le synode veut publier une « confession publique », il écrive :
« Si quelques uns ont un si grand désir de publier une Confession, nous prenons les anges et les hommes à témoins que cette ardeur nous déplait extrêmement. »
N’oublions pas que les grandes figures du protestantisme sont quasiment toutes des adeptes de Calvin et notamment l’amiral de Coligny. Cela explique la politique des dirigeants protestants dans les événements qui vont précéder la Saint-Barthélemy. Ces dirigeants vont avoir un aveuglement remarquable devant les menées de la cour royale…