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Pourquoi il n’y a pas de trajectoire du mouvement des particules en physique quantique ?

13 janvier 2019, 12:00, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

Bonjour.


Réduction de mon message pour essai d’un envoi, mais obligé de le découper en deux parties... Il faut comprendre dans ce commentaire que Poussière=Grain ou Granule, et que ce terme de poussière peut être remplacé.

___De fils en aiguilles, ou de saut en saut d’articles, j’en arrive à celui-ci ; est-ce une trajectoire et/ou du mouvement ?? Et bien ni l’un ni l’autre car ces façons sont des cheminements, où le mouvement n’existe pas. Ce n’est pas un parcours physique, ni même intellectuel mais une façon d’avancer sans vitesse, mais de passer d’un article à un autre car on nous donne des possibilité de liens, c’est donc presque le hasard d’un faux choix, d’arriver à tel article plutôt qu’un autre.
Voici les sauts d’articles : :
●Article : : "Qu’est-ce que le·Temps ?" commentaire du 4 janvier 07:05 →
●Article : : "D’où vient l’énergie." →
●Article : : "Pourquoi il n’y a pas de trajectoire du mouvement des particules en physique quantique ?"

___Je suis très étonné de la clarté de cet article, car je comprends enfin ce que je ne pouvais comprendre. Bien sûr des remises en cause totale sur ce que je pensais, mais surtout de ce que je croyais de la quantique et m’être donné de fausses idées. Oui je comprend enfin pourquoi ces scientifiques ont raisonné de telle façon, et surtout pourquoi ils ont inventé une autre physique qui est sans rapport avec cette physique classique. Nous tombons dans les mêmes incompréhensions que les relativités de M.Einstein, et où il faut voir autrement cette réalité que l’on croit linéaire, et il faut accepter des faits non compris. Quand les réflexions viennent pour dire ce qui ne va pas à telle échelle, cela est très bénéfique pour comprendre même les phénomènes non conventionnels et ce sans trop parler de virtuel et de ses particules. Expliquer les problèmes c’est en fait de mieux les comprendre. Toutes approches sur les physiques devraient être d’expliquer les faits puis les réflexions et donc les raisonnements, même si il peut y avoir des erreurs, ou des oublis. Quand vous pataugez avec les notions définies par cette quantique, que vous voyez de loin, et bien vous ne comprenez rien, et ce seulement parce que vous ne connaissez pas les faits qui ont aboutis à concevoir ces notions. En fait l’enquête des éléments premiers, ne démarre pas du début mais de la fin, et cela correspond en gros à la lecture d’un livre en commençant par la fin. De parler de particules virtuelles de charges opposées et sans masse, de parler de photons virtuels, de parler de sauts quantiques, de parler de créations et de destructions de ces particules éphémères, et d’autres choses encore, et vous même rajoutant des vitesses, des trajectoires, des positions, et bien vous obtenez une soupe immangeable, car tout est mélangé sans savoir qu’il ne peut y avoir certaines notions classiques dans cette quantique, et donc que vos raisonnements sont simplement faux. Quand vous avez appris à marcher sur un fil et que l’on vous propose de marcher sur une surface où les fils apparaissent et disparaissent et bien vous ne savez plus marcher.

___Même si vous saviez et imaginez que les particules de masse (matière) n’étaient pas de vrais corps mais des sortes d’essaims d’éléments plus petits, et donc d’une structure non fixe mais modifiable, et bien cette lecture de cet article renforce votre vision à concevoir que toutes les particules sont en fait de la poussière de particules et où ces poussières apparaissent et disparaissent faisant partie toujours du même ensemble de cette structure non figée, et où le corpuscule en dur dit particule n’existe absolument pas, mais est un regroupement non figé de ces poussières. Nous ne sommes pas fait de poussières d’étoiles comme avait dit un certain Hubert REEVES, mais de poussières de particules. Maintenant ces poussières de particules se regroupent pour former des entités bien distinctes, que nous nommons particules, et ces mêmes particules se regroupent pour former des atomes simples ou complexes, et que certains de ces atomes sont le produit de ces usines qui brillent que sont les étoiles. Tout n’est que poussières agglomérées et redeviendra poussières. Ainsi pour ma part, les particules du quantique ne sont que des poussières de particules non agglomérées, mais libre, faute de regroupement possible. Par les expériences on peut changer un proton en neutron et inversement, et cela n’a donc rien d’extraordinaire, car ce ne sont que des tas de poussières réarrangés et donc restructurés différemment, même si on retrouve des tas de structures totalement identiques. L’électron est une structure de poussières libre, c’est à dire une structure non concentrée comme les protons et neutrons, qui eux peuvent être compris comme un mélange d’électrons et de positions concentrés et donc structurés et compressés. Dans cette vision la quantique n’est alors que des grains libre ne pouvant s’agglomérer, mais se situe ou la matière se situe, comme si cette quantique n’était qu’un complément de la matière, ou encore un reste ne pouvant ne pouvant se regrouper, car la matière joue sur ce reste et empêche des regroupements possibles. Dans un essaim d’abeilles il y a un cœur, qui est l’essaim lui-même, mais pourtant autour de cet essaim des abeilles existent volant autour de l’essaim, et font toujours partie de cette même colonie d’abeilles. Et bien dans cette image le cœur de la particule est l’essaim, autour de ce cœur c’est toujours la même particule comme sont ces abeilles libres, et une peu plus loin les particules virtuelles sans masse soit disant, et ne faisant pas partie de la colonie d’abeilles, mais où des échanges se font. Le cœur de la particule correspondant à l’essaim n’est pas si concentré que cela, mais la densité des éléments est la plus grande. Donc les abeilles, les éléments sont en fait des poussières, où les grains externes de la particule-poussière ne peuvent venir s’agglomérer à la particule car c’est comme un quanta, un paquet serrait plein et ne pouvant grossir d’avantage. Cette représentation correspond aussi à l’idée de champ, et où ce champ n’a pas vraiment de dimension, car il s’étale, mais la densité des grains est plus dense au cœur du champ.

●[Tout comme la Relativité d’Einstein part du constat d’un maximum de vitesse de la lumière et de la matière (la constante c), la Quantique part du constat d’un minimum d’une quantité appelée l’action (qui est le produit d’une énergie et d’un temps) pour la lumière et la matière. Les deux ont entraîné des révisions déchirantes des anciens concepts de la physique.]
___Et bien je ne parlerai même pas de temps comme aussi d’énergie, mais de quantité limite formant des paquets de grains que l’on appelle particule, et ces paquets sont en nombre réduit de types de paquet, définissant les neutrons, les protons, les électrons, qui sont des paquets stables, et en gros les autres paquets sont instables et éphémères et redistribués au vide en tant que grains. Les neutrinos sont des paquets demi-stables car ils ont une durée de vie plus grande mais pas si grande que cela. Ceci veut dire aussi que les particules virtuelles ont forcément une masse, car si un grand nombre de grains aboutit à une masse, c’est que l’unité de grain possède forcément une masse, mais que l’on ne peut mesurer. Quelle est la quantité de grains pour former un électron par exemple, est une question que je ne sais pas répondre, mais cet électron qui est dit un champ, est pour moi un paquet de grains, et est à lui seul une unité de base entrant dans la constitution de neutron et de proton, ce qui veut dire que ces particules composites ont des masses multiple de la masse d’un électron, même si l’organisation de leur structure est différente de l’électron. Concevoir que les particules sont des paquets de grains, revient à dire qu’elles sont des champs, et qu’un champ n’est pas uniforme dans sa densité d’éléments ou grains, mais qu’il possède une sorte de centre, sans pour autant définir une vraie dimension, car un paquet de grains est flou. Pour un paquet de grains donné, le mouvement des grains et leur vitesse sont comme celle des particules virtuelles qui elles sont libre et ne se regroupent pas.

●[ERWIN Schrödinger" : : (...) "Quand on observe une particule d’un certain type, par exemple un électron, à tel instant et à tel endroit, cela doit être regardé en principe comme un événement isolé. Même si on observe une particule similaire un très court instant après à un endroit très proche du premier, et même si on a toutes les raisons de supposer une connexion causale entre la première et la seconde observation, l’affirmation selon laquelle c’est la même particule a été observée dans les deux cas n’a aucune signification vraie, dépourvue d’ambiguïté. (...)]
___Un bien comme un champ est difficile à observer, car flou et mal dimensionné, deux champs proche et se mélangeant est de l’ordre impossible à être observé. Ce qui est sûr est que nous ne pouvons pas frôler, toucher la surface d’une particule, car son enveloppe est flou et sans surface réelle. C’est comme toucher un nuage qui se disperserait encore plus de ce qu’il est, car il n’y a pas de frontière, c’est une structure d’éléments plus petits que j’appelle poussière, et où le regroupement d’un ensemble de grains est en fait dispersé. Même si il y a une concentration plus importante de grains dans le cœur de la particule, plus on s’éloigne du centre est plus la densité de grains devient faible.

●[ERWIN Schrödinger" : : (...) "Comment l’individualité apparaît-elle dans des objets composés d’éléments non individuels ?]
___Et bien si les éléments constituant la particule peut être considérée comme étant individuelle, mais il est impossible d’y avoir accès, car ce que nous testons, ne sont que des zones où un certain nombre d’éléments ou poussières existent, mais cela n’est pas la poussière unique en tant que élément unique que nous pouvons tester.

Découpage du message ne pouvant être envoyé et donc suite dans un envoi suivant...........
Amicalement.
JFP/Jean-François POULIQUEN.

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