Edito - Le gouvernement ne combat pas les attentats, il les utilise !
29 novembre 2015, 09:32
« Depuis l’arrivée de Laurent Fabius au Quai d’Orsay, tous les ponts ont été coupés avec Damas parce que Paris mise sur la chute du régime… et tous les jihadistes français partent là-bas, » a dit Bernard Squarcini, l’ancien patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) sous le président conservateur Nicolas Sarkozy.
Squarcini a dit à Valeurs actuelles que le premier ministre Manuel Valls avait refusé une information des services secrets syriens, passée à Squarcini et donnant plus de détails sur les jihadistes français combattant en Syrie. Le refus de Valls ayant été motivé par des « raisons idéologiques », a dit Squarcini.
« Depuis l’arrivée de Laurent Fabius au Quai d’Orsay, tous les ponts ont été coupés avec Damas parce que Paris mise sur la chute du régime… et tous les jihadistes français partent là-bas, » a dit Bernard Squarcini, l’ancien patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) sous le président conservateur Nicolas Sarkozy.
Squarcini a dit à Valeurs actuelles que le premier ministre Manuel Valls avait refusé une information des services secrets syriens, passée à Squarcini et donnant plus de détails sur les jihadistes français combattant en Syrie. Le refus de Valls ayant été motivé par des « raisons idéologiques », a dit Squarcini.