Contre-espionnage et antiterrorisme : des failles ou la politique de l’Etat français ?
17 mars 2018, 08:14
Isaac Asimov dans « Fondation » :
« Le ministère de la Guerre l’appelait le service des « renseignements », les gens soucieux d’utiliser le terme officiel parlaient quant à eux des « services secrets », et les esprits romanesques préféraient généralement employer le mot « espionnage ». Malheureusement pour les amateurs de frissons et autres adeptes des feuilletons télé, ‘activité en question, quel que soit le nom qu’on lui donne, s’avère en réalité assez sordide : elle implique notamment la pratique quasi quotidienne de la trahison et de la mauvaise foi. La société l’excuse puisqu’on la pratique « dans l’intérêt de l’Etat »… »
Isaac Asimov dans « Fondation » :
« Le ministère de la Guerre l’appelait le service des « renseignements », les gens soucieux d’utiliser le terme officiel parlaient quant à eux des « services secrets », et les esprits romanesques préféraient généralement employer le mot « espionnage ». Malheureusement pour les amateurs de frissons et autres adeptes des feuilletons télé, ‘activité en question, quel que soit le nom qu’on lui donne, s’avère en réalité assez sordide : elle implique notamment la pratique quasi quotidienne de la trahison et de la mauvaise foi. La société l’excuse puisqu’on la pratique « dans l’intérêt de l’Etat »… »