Le photon lumineux (ou boson en général) et la particule de matière (ou fermion) ont en commun non seulement d’être à la fois ondulatoire et corpusculaire mais aussi de ne pas avoir d’individualité, pas d’histoire particulière du corpuscule ou de l’onde, pas de particularités propres, pas de possibilités de se distinguer d’autre individus ayant les mêmes caractéristiques et d’obéir seulement à des logiques probabilistes et ne répondant pas individuellement à des critères de causalité. Enfin, ils ont en commun de ne pas pouvoir être suivis en continus sur des trajectoires. Quelle en est la raison fondamentale ? Eh bien, ce ne sont pas des objets individuels mais des structurations du vide.
Le photon lumineux (ou boson en général) et la particule de matière (ou fermion) ont en commun non seulement d’être à la fois ondulatoire et corpusculaire mais aussi de ne pas avoir d’individualité, pas d’histoire particulière du corpuscule ou de l’onde, pas de particularités propres, pas de possibilités de se distinguer d’autre individus ayant les mêmes caractéristiques et d’obéir seulement à des logiques probabilistes et ne répondant pas individuellement à des critères de causalité. Enfin, ils ont en commun de ne pas pouvoir être suivis en continus sur des trajectoires. Quelle en est la raison fondamentale ? Eh bien, ce ne sont pas des objets individuels mais des structurations du vide.