Pourquoi la révolution prolétarienne socialiste doit être mondiale et non nationale ?
23 mars 2015, 12:35
Mélenchon, lui, en reste au nationalisme. Il dénonce même dans la crise actuelle le fait le nationalisme faiblisse :
« Ce qui est anéanti, avec cet état d’esprit, ce n’est pas seulement le principe moral et politique du civisme. C’est le pays lui-même qui se dissout. La France se confond avec sa République. C’est son identité. Si nous renonçons à être citoyens, nous cessons d’être le peuple de cette Nation. » (Jean-Luc Mélenchon, Qu’ils s’en aillent tous)
Mélenchon, lui, en reste au nationalisme. Il dénonce même dans la crise actuelle le fait le nationalisme faiblisse :
« Ce qui est anéanti, avec cet état d’esprit, ce n’est pas seulement le principe moral et politique du civisme. C’est le pays lui-même qui se dissout. La France se confond avec sa République. C’est son identité. Si nous renonçons à être citoyens, nous cessons d’être le peuple de cette Nation. » (Jean-Luc Mélenchon, Qu’ils s’en aillent tous)