Les tensions entre Washington et Moscou continuent de s’aviver à propos d’allégations américaines que la Russie serait en train de monter « une base aérienne avancée » non loin de Lattaquié, ville portuaire du nord-ouest pour préparer une intervention d’appui plus direct au gouvernement de Bachar al-Assad, contre les milices islamistes armées et soutenues par les Etats-Unis et leurs alliés régionaux.
Le Département d’Etat américain a rapporté que le Secrétaire d’État John Kerry a téléphoné à son homologue russe, Sergueï Lavrov mardi pour la troisième fois en tout juste 10 jours pour mettre en garde contre une poursuite du soutien russe au régime d’Assad.
Selon une version écrite du Département d’Etat de cette conversation, Kerry a déclaré que le soutien russe pour le gouvernement syrien « risquait d’exacerber et d’étendre le conflit, et de saper notre objectif commun de lutter contre l’extrémisme ».
Kerry aurait réitéré des déclarations antérieures que le seul rôle légitime de la Russie en Syrie serait subordonné à la soi-disant « coalition » réunie par Washington et dirigée par les Etats-Unis et leurs alliés régionaux Turquie, Arabie saoudite et autres monarchies pétrolières sunnites réactionnaires du golfe Persique.
Les tensions entre Washington et Moscou continuent de s’aviver à propos d’allégations américaines que la Russie serait en train de monter « une base aérienne avancée » non loin de Lattaquié, ville portuaire du nord-ouest pour préparer une intervention d’appui plus direct au gouvernement de Bachar al-Assad, contre les milices islamistes armées et soutenues par les Etats-Unis et leurs alliés régionaux.
Le Département d’Etat américain a rapporté que le Secrétaire d’État John Kerry a téléphoné à son homologue russe, Sergueï Lavrov mardi pour la troisième fois en tout juste 10 jours pour mettre en garde contre une poursuite du soutien russe au régime d’Assad.
Selon une version écrite du Département d’Etat de cette conversation, Kerry a déclaré que le soutien russe pour le gouvernement syrien « risquait d’exacerber et d’étendre le conflit, et de saper notre objectif commun de lutter contre l’extrémisme ».
Kerry aurait réitéré des déclarations antérieures que le seul rôle légitime de la Russie en Syrie serait subordonné à la soi-disant « coalition » réunie par Washington et dirigée par les Etats-Unis et leurs alliés régionaux Turquie, Arabie saoudite et autres monarchies pétrolières sunnites réactionnaires du golfe Persique.