Les enseignants ont décidé de quitter les salles de classe suite non paiement des salaires des agents du pré primaire attendus depuis le 25 décembre 2014 ; non mensualisation de la Prime d’incitation à la fonction enseignante (PIFE) ; non paiement de la Prime d’incitation à la performance (PIP) ; violences policière contre les enseignants d’Oyem réclamant leurs postes budgétaires.
Les grévistes réclament aussi l’augmentation du Salaire minimum interprofessionnel garanti de 80 000 à 300 000 FCFA et l’augmentation du point d’indice de 425 à 1500.
Malgré un mois de négociations en décembre dernier à Angondjè, le gouvernement est resté « évasif » sur ces doléances.
Les enseignants ont décidé de quitter les salles de classe suite non paiement des salaires des agents du pré primaire attendus depuis le 25 décembre 2014 ; non mensualisation de la Prime d’incitation à la fonction enseignante (PIFE) ; non paiement de la Prime d’incitation à la performance (PIP) ; violences policière contre les enseignants d’Oyem réclamant leurs postes budgétaires.
Les grévistes réclament aussi l’augmentation du Salaire minimum interprofessionnel garanti de 80 000 à 300 000 FCFA et l’augmentation du point d’indice de 425 à 1500.
Malgré un mois de négociations en décembre dernier à Angondjè, le gouvernement est resté « évasif » sur ces doléances.