Albert Meynard écrit dans « Le sexe du cerveau » :
« Chez l’Australopithèque, la taille de la femelle variait entre la moitié et les trois quarts de la taille du mâle. La division des tâches était de fait influencée par ce dimorphisme, Cueillette d’un côté, chasse de l’autre, aide réciproque aux moments cruciaux, la dichotomie s’imposait d’elle-même. »
Le dimorphisme physiologique disparaît avec l’homo sapiens sapiens…
Albert Meynard écrit dans « Le sexe du cerveau » :
« Chez l’Australopithèque, la taille de la femelle variait entre la moitié et les trois quarts de la taille du mâle. La division des tâches était de fait influencée par ce dimorphisme, Cueillette d’un côté, chasse de l’autre, aide réciproque aux moments cruciaux, la dichotomie s’imposait d’elle-même. »
Le dimorphisme physiologique disparaît avec l’homo sapiens sapiens…