La nécessité de la représentation dans l’espace concret pour contrer les dérives idéalistes
31 août 2014, 06:19, par Burt
Le problème fondamental vient en partie du fait que la physique quantique meuble le vide de toutes sortes de particules virtuelles au lieu de recourir à un éther de particules réelles pouvant être suivies dans l’espace concret. Le problème du déséquilibre matière-anti-matière montre selon moi que le sujet des interactions particules-antiparticules est loin d’être bien maîtrisé et qu’il faut se méfier de faire reposer « les structures dites "matérielles réelles » » sur ces couples de particules virtuelles.
Le rejet historique de l’éther était un choix illogique puisque la physique utilisait des formules d’un milieu en vibration avec des fréquences et des longueurs d’onde tout en niant qu’il y ait un milieu. L’argument académique disant qu’on n’a pas trouvé d’effet à ce milieu (selon l’expérience de Michelson-Morley) et qu’il est donc inutile, ne tient pas selon moi parce que la négation de ce milieu menait à un illogisme conceptuel.
Il fallait donc une conception « métaphysique » figée (au sens donné par Engels) de la lumière pour adhérer malgré tout à cet argument, c’est-à-dire accorder au photon de lumière des propriétés intrinsèques indépendantes des interactions avec le milieu qui l’entoure, au lieu de le considérer comme un processus d’interaction. Engels a placé au coeur de son ébauche de livre « Dialectique de la nature » la critique de la conception « métaphysique » et a défendu une conception dialectique en termes de processus.
La conception du photon de lumière sans milieu de vibration me semble hautement métaphysique et figée. Et c’est sur cette conception d’une particule individuelle figée que se sont appuyés les pères fondateurs de la physique quantique pour en arriver à proposer une existence fondamentalement statistique au photon.
Le problème fondamental vient en partie du fait que la physique quantique meuble le vide de toutes sortes de particules virtuelles au lieu de recourir à un éther de particules réelles pouvant être suivies dans l’espace concret. Le problème du déséquilibre matière-anti-matière montre selon moi que le sujet des interactions particules-antiparticules est loin d’être bien maîtrisé et qu’il faut se méfier de faire reposer « les structures dites "matérielles réelles » » sur ces couples de particules virtuelles.
Le rejet historique de l’éther était un choix illogique puisque la physique utilisait des formules d’un milieu en vibration avec des fréquences et des longueurs d’onde tout en niant qu’il y ait un milieu. L’argument académique disant qu’on n’a pas trouvé d’effet à ce milieu (selon l’expérience de Michelson-Morley) et qu’il est donc inutile, ne tient pas selon moi parce que la négation de ce milieu menait à un illogisme conceptuel.
Il fallait donc une conception « métaphysique » figée (au sens donné par Engels) de la lumière pour adhérer malgré tout à cet argument, c’est-à-dire accorder au photon de lumière des propriétés intrinsèques indépendantes des interactions avec le milieu qui l’entoure, au lieu de le considérer comme un processus d’interaction. Engels a placé au coeur de son ébauche de livre « Dialectique de la nature » la critique de la conception « métaphysique » et a défendu une conception dialectique en termes de processus.
La conception du photon de lumière sans milieu de vibration me semble hautement métaphysique et figée. Et c’est sur cette conception d’une particule individuelle figée que se sont appuyés les pères fondateurs de la physique quantique pour en arriver à proposer une existence fondamentalement statistique au photon.