Cher lecteur,
effectivement, la branche de figuier a choisi l’itinéraire qui lui semblait la plus propice à faire circuler la sève mais ce n’est pas par horreur du vide. La force de la poussée des branches ne provient pas d’une horreur du vide... De toutes manière, l’erreur de ce point de vue provient d’une image fausse car la matière elle-même ne s’oppose pas au vide dont elle est composée.
Cher lecteur,
effectivement, la branche de figuier a choisi l’itinéraire qui lui semblait la plus propice à faire circuler la sève mais ce n’est pas par horreur du vide. La force de la poussée des branches ne provient pas d’une horreur du vide... De toutes manière, l’erreur de ce point de vue provient d’une image fausse car la matière elle-même ne s’oppose pas au vide dont elle est composée.