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A un camarade …

20 mai 2015, 09:01, par Vidovic

UNIQUE DANS L’UNIVERS CONNU :

LA PERSONNE HUMAINE

Il est éthique de poser la question, humainement parlant : Qui sommes-nous ?

Le principe de tous les efforts de pensées et de paroles de la civilisation issue des Doriens dans le sud-est européen était gravé sur le fronton du temple d’Appolon à ’Delphes : - Gnothe seauton. du reste l’assertion des monothéistes ’L’homme est fait à l’image du Créeateur - correspond à l’assertion dite ’scientifique’ : L’homme est la mesure de toute chose. Et comme - sur le plan de la pensée en géneral - toute chose a la meme origine, il convient de dire que le corps humain est conçu et fait en fonction des forces de la nature. Du reste, la science continue d’explorer l’étendue et la complexité de l’espace sidéral et - consciemment ou inconsciemment par là - de la matrice de la nature humaine.

Or, l’Homme est le seul phénomène dans l’ensemble que nous connaissons de la très vaste et très ramifiée faune et flore ici bas qui est doué de la CONSCIENCE HUMAINE d’ou nous vient le pouvoir intuitif - aptitude de connaisance immédiate et le progès dans le vaste éventail des ramifications représentant le savoir et la science, humainement parlant. Connaitre la vérité est le premier DROIT de la race humaine. L’intuition en tant que donnée pragmatique de la science humaine a indubitablement, un role déterminant dans l’éveil et l’épanouissement de la PERSONNE HUMAINE - connaitre la VERITE - toute la vérité sur le monde environnant en fonction duquel est fait notre organisme afin de se sentir libre - et tout d’abord libéré de l’gnorance laquelle - selon l’Illyrien Jerome de Strion - est l’a ’mère de tous les maux’.

La liberté de la conscience guide nos pensées vers la liberté en tant que finalité de l’histoire humaine, est, et restera jusqu’à la finalisation de l’histoire humaine, un ensemble des voies du cheminement de la vérité pour s’accomplir dans le sentiment de l’ETRE HUMAIN - d’etre libre. Déduisons de cette prémisse, l’anecdote - étant que tout ce qui est vrai est intemporel et l’ame humaine dans l’univers virtuel accomplit et traduisant la réalité du monde en fonction duquel est fait notre organisme - finira par se sentir partie faisante de l’éternité.

NOTA : Toute la CREATION - au vue de sa logique intrinsèque - et toutes créatures vivantes en particulier, sont génétiquement définis de l’amorce à la mort et se répètent en s’adoptant aux changements de l’environnement et cela est à comprendre dans l’ensemble des espèces innombrables plus au moins interdépendantes entre elles, n’ayant d’autre sens dans leur existence que de se maintenir en vie en perpétuant chacun son espèce.

Seul l’etre humain représente un phénomène à part : depuis la prime cellule fécondée, l’etre humain s’épanouit et se developpe selon sa gamme génétique laquelle pour chaque individualité représente l’union de deux héritages génétiques - par la mère et par le père. Or, en se faisant strictement selon la logique de l’age prime du fétus, un etre humain n’est pas programmé par la Logique de la Création à s’accomplir durant sa vie, et de ce fait, se perpétue de génération en génération en faisant l’HOSTOIRE DE LA PERSONNE HUMAINE qui se fait au gré du temps et grace aux connaissance de soi-meme en fonction des forces de la nature.

Donc, il est évident, de ce fait, que l’etre humain est un et unique dans l’épanouissement de la race humaine ou aucun destin, pris à part, ne peut s’accomplir ni se perpétuer dans la postérité qui se reproduirait à l’dentique. Sans la spécificité des etre humains pris à prt, il n’y aurait pas une histoire par laquelle se développe et se perfectionne la PERSONNE HUMAINE.

Donc, les spécificités de chaqu’un d’entre nous sont indispensables pour l’accomplissement de la finalité de notre histoire - on le sait - dans l’ESPRIT DE LA VERITE - ou la CONSCIENCE HUMAINE guide nos sens par l’intuition et memorise les expériences et les découvertes en faisant de sorte à ce que la découverte d’un individu - étant dans la vérité - devienne le patrimoine de l’humanté toute entière, léguée aux générations futures pour servir de base à des conquetes nouvelles de sa propre potentielité.

NOTA : il me vient dans l’esprit - à propos de la conscence humaine - ce que le penseur italien Giacomo Leopardi a écrit au début du XIX siècle (le siècle des profusions idéologiques qui ne tenaient pas de la conscience - "Domandato il tale quel cosa al mondo fosse piu rara, rispose : Quelle ch’è di tutti, cioè il senso commune’ (’Il senso commune’ - 13.06.1821). Donc, la conscience en tant que l’essentiel de la nature humaine, vient en ce monde dans l’essntiel de chacun d’entre nous, mais il y a très peu de nos semblables qui l’ont éveillé, épanouie et agissante - qui toujours et sans faute évolue, ce que nous rapportent nos sens et ce qui guide nos pensées.

Cela représente dans l’histoire de l’épanouissement de l’éveil du conscient humain un redoutable bilan : après les prophètes, il y avait la période des philosophes et ensuite des - saints. De façon générale, les plus représentatifs de ces penseurs à l’intuition qui guidait leurs idées, ont été incompris par les magnats de leur ambiance, soupçonnés, nombre d’entre eux ont été mis à la mort. Les rois et les grands pretres ne permettent pas que l’on ’escamote’ leur vision du monde et du role de ceux qui se voulaient maitres du monde et des ames humains. Or, la vérité finit par convaincre les sceptiques, y compris ceux qui se lancent dans la négation du sensé et on ne parle pas du nombre des libérés de la contrainte qui s’en sortent fort soulagés.

IL N’Y A PAS DE LIBERTE SANS LA VERITE

L’Etre humain est le seul etre vivant qui vienne en ce monde avec la potentialité de la conscience au centre de son univers mental. Certes, les diverses recherches sur l’origine de l’homme se poursuivent et nombre des vestiges anthropo-archéologiques bénéficient d’un ’palmares’ de nombreuses parties de squelettes qui continuent de faire objets de diverses interrogations : s’il s’agit des humanoides - ou trouver le premier d’entre le humains ? Pour le moment le critere de ces évaluations restent - les divers cranes que l’on suppose avoir été de ceux que l’on appelle - les ’premiers hommes’.

Or, meme dans le monde qui est le notre, il y a nombre de types de la race humaine et autant d’erreurs dans les tentatives (parfois tragiques) de qualifier tel ou tel type de race ’supérieur’ ou ’inférieur’. Pour pouvoir mieux comprendre les vestiges des mamifères humanoides, il faut peut etre comprendre l’humanité vivante.

Certains ornithologues ont choisi la ’perruche australienne’ - dont le plumage etait aux couleurs vives multiples et ont eu l’idéee de dissocier les individus de cette meme espèce - en les séparant et appareillant par l’infime spécificité de leur plumage. C’est ainsi que les ornithologues sont arrivés à produire - par selection - des perruches australiennes monochromes : rouges, bleues, blancs, jaune. Or, dans tous les autres sens, comme par exemple, le chant, périodes de reproduction etc, il n’y avait rien de changé. Tant que les types ainsi dissociés vivaient entre eux - la monochromie persista. Or, si on laisse en convivialité le mélange des ces spécimèns monochromes, leur postérité retourne vers la diversité de couleurs, d’origine.

On peut continuer à disserter sur les races, types et le comportement de telle ou telle communauté humaine autour de la terre, mais on ne peut pas ne pas reconnaitre que tant que nous sommes, quel que soit notre aspect extérieur, nos us et coutumes, une chose est certaine : tous les etres humains sont d’accord - que deux et deux font quatre. L’acuité mentale de tous les etres humains psychiquement normaux, a de façon inné le haut sens du vrai et de l’équitable. Les différences viennent plutot de la manière de se maintenir en vie dans diverses conditions de la nature ambiante. Indépendemment de ce facteur du bon sens et quel que soit le degré de spécificité des us et des coutumes, tous les etres humains sont génétiquement compatibles. Le melange des races se fait, comme dans le cas des perruches australiennes, un processus de retour à l’origine du corps que le métissage rend vigoureux alors que la consanguinité débouche parfois sur la dégénérescence.

L’instinct de survie chez les etres humains a sans doute depuis bien longtemps occasionné la méfiance sinon la peur de "l’autre" - semblable ou différent, mais que l’on ne connaissait pas. Dans ces relations la liberté est très restreinte et dépendant de la limite entre le connu et l’inconnu. Liberté, donc, est une notion civilisatrice de l’homme. Certes, les plus forts ne la voient pas comme les plus faibles, mais la force et la faiblesse dépendent du savoir humain. Et on sait positivement que - SAVOIR C’EST SE LIBERER DE L’IGNORANCE.

Bref, pour le maintien en vie, pour la continuité de l’espèce humaine, pour ne pas etre esclave des autres, il fallait depuis que l’homme a inventé l’arc et la flèche - arriver à maitriser le fameux strogg.bow pour obliger l’ennemi à se tenir à distance. En s’organisant pour se défendre, on a compris que la liberté est le pouvoir non seulement pour se défendre contre l’ennemi, mais aussi pour structurer la société en la rendant capable d’agir de concert en obéissant au chef supreme.

La vérité de tous temps est la fonction de la liberté.
Personne ne peut se sentir libre tant que tous les hommes ne soient pas libres !

LA VERITE EST TRIBUTAIRE DE LA RECIPROCITE

A partir de la constatation que c’est l’infiniment petit qui est à la base de l’infiniment grand, on reprend aussi la premisse de base de la sociologie qui dit que de comprendre les normes de la normalité de l’individu, c’est avoir le parametre qui nous aidera dans les efforts pour comprendre l’Humanité ou, selon le néologisme, le plasma humain ici bas.

Or, pour comprendre l’individu et par là sa société, on ne peut se fier à l’assertion de Descartes en ce qui concerne le - commun humain :

"Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée : car chacun pense en etre si bien pourvu, que ceux-memes qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose, n’ont point coutume d’en désirer plus qu’ils n’ont. En quoi il n’est pas vraissemblable que tous se trompent ; mais plutot cela témoigne que la puissance de bien juger et distinguer le vrai d’avec le faux qui est proprement ce qu’on nomme le bon sens ou la raison et naturellement égale en tous les hommes..." (Descartes : ’Discours de la méthode’, I. - considération touchant les sciences.).

Il convient de faire remarquer que ce point de vue de Cartesius est à la base de son analyse de ce passage du ’Phedon’ de Platon, ou il est question de la divinisation de l’homme par la vérité, du doute et de la méthode, si chère à Descartes, et aussi, comme on l’ a cité, de la remarque faite à ce sujet par le penseur italien Giacomo Leopardi. Le bon sens de ce fait est une donnée que l’humanité garde dans sa mémoire pour cerner l’approche de la vérité par le bon sens (la conscience humaine) sans quoi le dialogue entre humains serait impensable.

Ce dialogue a toujours été mené entre intuitifs et doctes. Les intuitifs en suivant leur intuition qui vient de l’essentiel de la nature humaine - de la conscience - ce permanent dialogue entre le Créateur et l’etre qui est fait à l’image du Créateur, continue sans cesse à s’interroger sur le vide de nos connaissance sdu monde environnant en fonction duquel est fait notre organisme. Sans l’intuition on serait à peu prés ce que sont les autres etres faisant partie de la faune, sinon de tous les etres vivants, chacun selon sa nature.

Le progrès, dont se targuent les doctes (dont le savoir est fait de ce que les intuitifs ont compris, découvert et transmis à l’Homme, vient des efforts des intuitifs qui ne s’en vantent pas car ils savent que ce qu’on sait ne fait qu’une faible part de ce qu’il y a a comprendre, à apprendre et léguer aux ’doctes’ pour bien servir la cause commune.

Humainement parlant les intuitifs sont serviteurs du bien commun par l’abnégation et la passion de comprendre et d’apprendre, alors que les doctes sont, en quelque sorte, les trésoriers de richesses spirituelles des intuitifs. Leur rapports n’ont jamais été menés dans la confiance. Les uns se méfiaient des autres, car les intuitifs communiquaient avec le Créateur, alors que les doctes ont toujours été au service des stratèges du pouvoir temporel ayant la force à sa disposition et le raisonnement qui s’en suit : ’La vérité c’est c qui sert nos intérets’. La certitude des intuitifs était ’filtré’ par les doctes - eux - servant les intérets des potents.

En fonction de cette bipolarité, l’histoire des Hommes nous a légué des exemples de la lutte pour la survie des intuitifs et parfois des doctes qui les suivaient en confiance. Le destin de Jésus reste l’exemple le plus probant que la connaissance de la vérité est le sens inné de l’existence humaine et lorsqu’il faut sacrifier, selon la volonté ou la demande des potents, l’abandon de la vérité pour la survie du corps, ou bien faute du reniement de la vérité, de sacrifier le corps - c’est la plus grande preuve qu’on est dans l’esprit de la vérité. Pour de plus en plus de nos semblables et - à jamais, car la vérité est éternelle et non le corps. ’C’est l’Esprit qui donne la vie, ce corps ne vaut rien’ - a dit Jésus aux gens de son temps, qui nous l’ont transmis pour toute l’historie du genre humain.

Socrate a compris que la vérité venait par l’intuition emmanant de la CONSCIENCE humaine et non des citations de tout ce qui a été écrit sous le prétexte que cela venait des divinités payennes (de la ’Theogonia’ d’Hésiodes). Jesus de Nazareth a démontré par toute sa vie, en tant que ’le vrai homme’ (nous disons homme entierement accompli), que toute la vérité nous venait par la conscience qui éclaire le monde humain alors que le corps est comparable à la cire d’une bougie qui doit se consommer pour susciter la clarté dans l’ame des etres humains doués de la potentialité intuitive. De tous les etres humains sans exception aucune. Or, rares sont ceux qui arrivent à atteindre l’épanouissement de la conscience afin qu’elle deviennet agissante - en éveillant le pouvoir intuitif de nos semblables. Procédé très lent, procédé qui nécessite toute notre histoire humaine, mais procédé irreversible !

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