Des soldats et des policiers macédoniens ont tiré vendredi sur des milliers de réfugiés massés devant un poste frontalier, faisant plusieurs blessés. Cette attaque est intervenue un jour après que le gouvernement de Skopje a déclaré l’état d’urgence et dépêché des troupes à la frontière avec la Grèce pour endiguer le flux des réfugiés qui cherchent à rejoindre l’Europe du Nord en traversant les Balkans.
Après avoir bouclé la frontière avec des barbelés, les forces de sécurité macédoniennes, appuyées par des véhicules blindés, ont tiré gaz lacrymogènes, grenades assourdissantes et balles en plastic dans une foule où il y avait beaucoup de femmes et d’enfants. La police a tabassé des réfugiés à coup de matraques et de boucliers.
L’agitation a cru chez les réfugiés après que les autorités macédoniennes ont annoncé qu’elles permettraient à « un nombre limité de migrants illégaux parmi les plus vulnérables » de traverser la frontière et qu’elles laisseraient entrer quelques centaines de réfugiés, surtout des familles avec des enfants et des femmes enceintes.
Des soldats et des policiers macédoniens ont tiré vendredi sur des milliers de réfugiés massés devant un poste frontalier, faisant plusieurs blessés. Cette attaque est intervenue un jour après que le gouvernement de Skopje a déclaré l’état d’urgence et dépêché des troupes à la frontière avec la Grèce pour endiguer le flux des réfugiés qui cherchent à rejoindre l’Europe du Nord en traversant les Balkans.
Après avoir bouclé la frontière avec des barbelés, les forces de sécurité macédoniennes, appuyées par des véhicules blindés, ont tiré gaz lacrymogènes, grenades assourdissantes et balles en plastic dans une foule où il y avait beaucoup de femmes et d’enfants. La police a tabassé des réfugiés à coup de matraques et de boucliers.
L’agitation a cru chez les réfugiés après que les autorités macédoniennes ont annoncé qu’elles permettraient à « un nombre limité de migrants illégaux parmi les plus vulnérables » de traverser la frontière et qu’elles laisseraient entrer quelques centaines de réfugiés, surtout des familles avec des enfants et des femmes enceintes.