Depuis l’évacuation le 2 juin du campement sous le métro aérien de La Chapelle, dans le nord de Paris, où plus de 350 personnes, principalement des Soudanais et des Érythréens, s’entassaient depuis des mois dans des conditions indignes, clandestins et policiers se livrent au jeu du chat et de la souris.
Plusieurs dizaines de migrants ont été délogés ces derniers jours du parvis de l’église Saint-Bernard - célèbre depuis l’évacuation musclée des sans-papiers qui l’avaient occupée en 1996 - et de la halle Pajol, lors d’opérations policières très médiatisées.
Quelques 84 personnes avaient été emmenées au commissariat et des policiers avaient fait usage de gaz lacrymogènes contre des migrants et des militants qui tentaient de faire barrage.
Des brutalités policières ont été dénoncées lors de cette expulsion.
Depuis l’évacuation le 2 juin du campement sous le métro aérien de La Chapelle, dans le nord de Paris, où plus de 350 personnes, principalement des Soudanais et des Érythréens, s’entassaient depuis des mois dans des conditions indignes, clandestins et policiers se livrent au jeu du chat et de la souris.
Plusieurs dizaines de migrants ont été délogés ces derniers jours du parvis de l’église Saint-Bernard - célèbre depuis l’évacuation musclée des sans-papiers qui l’avaient occupée en 1996 - et de la halle Pajol, lors d’opérations policières très médiatisées.
Quelques 84 personnes avaient été emmenées au commissariat et des policiers avaient fait usage de gaz lacrymogènes contre des migrants et des militants qui tentaient de faire barrage.
Des brutalités policières ont été dénoncées lors de cette expulsion.