L’espèce humaine, comme produit du développement inégal et combiné de la vie animale
3 septembre 2014, 14:58
Contrairement à ce que l’on croyait jusqu’à présent, l’art pariétal n’était pas une spécificité de l’homo sapiens. L’homme de Néandertal aussi s’y adonnait.
La découverte est importante et change l’image que l’on se fait des Néandertaliens. Des paléontologues français, espagnols et anglais viennent de découvrir une gravure rupestre réalisée par des hommes de Néandertal à Gibraltar, a annoncé mardi 2 septembre le CNRS.
Cette « gravure abstraite » en forme de « croisillon » a été découverte dans la grotte de Gorham, à l’est du rocher de Gibraltar. Elle était « profondément incisée dans le sol d’une plateforme rocheuse située au fond de la grotte » et « était couverte par une couche de sédiments », explique dans son communiqué le CNRS. Elle remonte à il y a plus de 39.000 ans.
Contrairement à ce que l’on croyait jusqu’à présent, l’art pariétal n’était pas une spécificité de l’homo sapiens. L’homme de Néandertal aussi s’y adonnait.
La découverte est importante et change l’image que l’on se fait des Néandertaliens. Des paléontologues français, espagnols et anglais viennent de découvrir une gravure rupestre réalisée par des hommes de Néandertal à Gibraltar, a annoncé mardi 2 septembre le CNRS.
Cette « gravure abstraite » en forme de « croisillon » a été découverte dans la grotte de Gorham, à l’est du rocher de Gibraltar. Elle était « profondément incisée dans le sol d’une plateforme rocheuse située au fond de la grotte » et « était couverte par une couche de sédiments », explique dans son communiqué le CNRS. Elle remonte à il y a plus de 39.000 ans.