Produit de l’industrie capitaliste, la vague mondiale de cancers grandit
26 août 2015, 07:26
La justice a reconnu pour la première fois en France l’existence d’un handicap grave dû à l’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques.
Passé inaperçu lors de sa publication début juillet, un jugement du Tribunal du contentieux de l’incapacité de Toulouse confirme, expertise médicale à l’appui, que Marine Richard, la plaignante, souffre d’un handicap grave dû à l’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques et lui accorde en conséquence le droit à une allocation pour adulte handicapé.
Le jugement transmis mardi à l’AFP par l’association Robin des Toits, qui milite pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fil, évoque un syndrome dont « la description des signes cliniques est irréfutable ». Il évalue la déficience fonctionnelle de la plaignante à 85% et estime qu’elle ne peut pas travailler. Il lui accorde le droit à une allocation de 800 euros par mois pour trois ans, éventuellement renouvelable.
La justice a reconnu pour la première fois en France l’existence d’un handicap grave dû à l’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques.
Passé inaperçu lors de sa publication début juillet, un jugement du Tribunal du contentieux de l’incapacité de Toulouse confirme, expertise médicale à l’appui, que Marine Richard, la plaignante, souffre d’un handicap grave dû à l’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques et lui accorde en conséquence le droit à une allocation pour adulte handicapé.
Le jugement transmis mardi à l’AFP par l’association Robin des Toits, qui milite pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fil, évoque un syndrome dont « la description des signes cliniques est irréfutable ». Il évalue la déficience fonctionnelle de la plaignante à 85% et estime qu’elle ne peut pas travailler. Il lui accorde le droit à une allocation de 800 euros par mois pour trois ans, éventuellement renouvelable.