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Une hypothèse sur l’origine quantique virtuelle de la gravitation entre particules de masse inerte

19 septembre 2021, 11:29, par JFP/Jean-François POULIQUEN

▬JFP¦¦20210919¦¦ Bonjour. Un dialogue avait pris fin, car les derniers mots de cette dernière phrase d’échange de votre part du 3 février 2019 0852, était difficilement compréhensive, car que veut dire cette phrase et surtout sa fin :
▬"D’autant que la masse n’est qu’une propriété portée par un boson (sans masse !).... et qui saute d’une particule virtuelle (devenant du coup "réelle") à une autre donc près d’une masse devient brutalement loin..." C’est ce brutalement loin qui est difficile à comprendre...
▬Votre hypothèse sur la gravitation quantique est une très bonne idée qui peut se tenir et être comprise facilement, car nous avons enfin une vraie proposition au niveau quantique, hormis celle de Le Sage. Seulement elle est contradictoire avec vos propres phrases dans d ’autres articles de physique, car vous nommez tout le temps un cortège de particules virtuelles qui accompagne systématiquement une particule dite réelle comme un nuage de polarisation. Donc maintenant dans votre hypothèse sur la gravitation quantique, ces nuages engloberaient l’univers, ce qui change toute la donne et les compréhensions sur les autres articles de votre site, car pourquoi parler de nuage, si toutes les particules dites réelles sont baignées dans un bain de vide quantique épousant tout l’univers ? Il y a donc des contradictions, car un nuage de polarisation autour d’une particule de masse, ne devrait pas épouser l’univers, et parler de nuages devient faux. Le problème est qu’à une nouvelle idée ou concept, il y a forcément des problèmes et des questions qui se posent, car si l’agitation du vide quantique est plus faible proche des masses, qu’elle est la mécanique qui engendre cela ? De plus l’inverse du carré de la distance pour la gravitation de Newton ou Einstein, ne s’explique pas physiquement dans votre hypothèse.

▬Vis-à-vis du champ électromagnétique, il y a aussi une sorte de contradiction avec votre hypothèse, car si vous prenez une source électromagnétique, et que vous testiez autour de cette source par des points, eh bien plus vous vous éloignez de la source, et plus les valeurs vont devenir faibles, ce qui correspond à un champ électromagnétique qui s’affaiblit plus on s’’éloigne de la source. Dans votre hypothèse c’est exactement le contraire, car plus on s’éloigne d’une source de masse, et plus l’agitation des particules virtuelles est grande, et donc d’où votre hypothèse donnant une sorte de dépression de densité autour des objets de masse ? Une question apparaît, est pourquoi les masses ont un rôle sur la densité ou fréquence d’appauvrir l’apparition et de disparition de particules virtuelles ? L’idée est bonne, mais il n’y a pas d’explication, car physiquement qu’est-ce qui ce passe ? Si dans la matière entre les atomes, la densité de particules virtuelles est moindre, et même autour de sa surface, on ne voit pas le lien entre masse et dégradation de particules virtuelles dans la matière, et même si il y avait dégradation, la portée devrait courte comme dans l’électromagnétisme, et ne pas correspondre aux portées longues de la gravitation. et donc l’inverse du carré de la distance devient quoi dans votre hypothèse ? Dans toutes vos explications sur les particules virtuelles, dans d’autres articles, celles-ci apparaissent et disparaissent, et même si leur apparition possède un laps de temps très court, ces particules sont statiques car elles non pas de mouvement. Comment alors expliquer cette faiblesse de poussée éventuelle si ces particules sont statiques. Le terme utilisé d’agitation, veut simplement dire que le flux d’apparition et de disparition est grand, mais ne donne aucun mouvement, car leurs mouvements sont justement des sauts quantiques où le temps disparait, car ces sauts sont instantanés.
▬Cette phrase est plus que curieuse "L’agitation de l’espace-temps est aussi remarquable au sein du vide et sur un intervalle court, le temps s’agite vers l’avant comme vers l’arrière…" Que le temps s’agite est déjà curieux comme phrase , car on ne sait pas ce qu’est le temps, et s’agiter vers l’arrière est assez démentiel, car on ne comprend pas. Dans la physique quantique le temps est normalement absent, car cette notion n’est pas vraiment prise en compte dans cette physique, car on ne nous donne jamais de vitesse, et la raison est que c’est de l’instantané ou presque, pourtant la base de cette physique quantique est bien l’énergie minimum donnant ces notions de distante et de temps minimum possibles. L’évolution de cette physique quantique, à fait disparaître le temps comme les longueurs, et les particules virtuelles remplacent ces notions.
▬Ce qui est difficile à comprendre avec ces particules virtuelles, c’est que normalement elles sont typées, comme l’est aussi ce boson de Higgs, car si un électron réel devenant virtuel, il ne peut pas prendre la place d’un quark virtuel. Cette généralisation en parlant toujours de particules virtuelles sans les nommées par typage, cela sous-entend que le vide quantique contient tous les types de particules, et que forcément ce boson de Higgs est aussi typé.
▬D’après vous si dans des zones d’espace, la matière existe, cela sous-entend que le nombre de particules au sens large, réelles ou virtuelles est moindre, par rapport au reste de l’espace. Cela ferait comme des trous flous dans espace remplis de ces particules virtuelles, et la cause de ces trous serait que les bosons de Higgs sont présent dans ces zones. En retirant par imagination ces bosons de Higgs, l’espace ne serait pas homogène par ces particules virtuelles, car la densité d’agitation serait moindre où ces boson existaient. De plus sans ces bosons l’univers n’aurait plus de masse !!!
▬On pourrait d’écrire exactement l’inverse de votre hypothèse ou concept, car on pourrait imaginer que justement ces bosons de Higgs attirent l’activité d’apparition de de disparition de ces particules virtuelles, c’est à dire plus on s’éloigne de masses où les bosons de Higgs sont présent, et moins l’activité des particules virtuelle est présente, cela donne aussi et également une sorte de dépression d’agitation entre les masses dans le vide. Ainsi les particules réelles ou virtuelles sont plus concentrées où les bosons de Higgs sont présent, et ainsi le vide de l’espace restant moins dense et moins agité suivant le carré inverse de la distance des masses ou plus exactement des bosons. On pourrait dire que les bosons de Higgs pompent le vide quantique, et où ils se trouvent, la densité de virtuel est beaucoup plus grande que le reste du vide de l’espace, et que forcément cela donne un déséquilibre de densité initialement homogène.
▬Dans cette logique inverse à la votre, les Bosons de Higgs donnent toujours les masses, mais ces bosons sont de plus des attracteurs des particules virtuelles comme réelles, ce qui donne aussi un déséquilibre du vide, et donc aussi une sorte d’attraction entre les masses, et les termes de nuages de polarisation restent une vérité, car plus on s’éloigne de masses et donc de ces bosons, moins le vide est dense, et donc le nuage devient flou. Dans ce modèle la dépression devient entre les masses et non proche des masses. On peut dire que les bosons pompent le vide !!! Donc la gravitation est liée aux bosons et non à autre chose, mais ceci est un modèle, mais je préfère celui de Le Sage...
▬J’ai d’autres choses à dire, mais on est limité en nombre de caractères comme de mots par message utilisateur...
Amicalement.
JFP Jean-François Pouliquen
jfp.pouliquen@hotmail.fr

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