Frédéric II, roi de Prusse, dans son « Testament politique de 1768 » qui sont des conseils à celui qui se destine à lui succéder :
« La plus grande erreur dans laquelle on puisse être, est de croire que des Rois ou des ministres s’intéressent à notre sort. Ces gens-là n’aiment qu’eux-mêmes ; leur intérêt est leur dieu. Leur style devient insinuant et flatteur à proportion qu’ils ont besoin de vous. Ils vous jugeront avec une fausseté infâme que vos intérêts leur sont aussi chers que les leurs ; mais ne croyez pas et bouchez vos oreilles aux chants de ces sirènes. »
Frédéric II, roi de Prusse, dans son « Testament politique de 1768 » qui sont des conseils à celui qui se destine à lui succéder :
« La plus grande erreur dans laquelle on puisse être, est de croire que des Rois ou des ministres s’intéressent à notre sort. Ces gens-là n’aiment qu’eux-mêmes ; leur intérêt est leur dieu. Leur style devient insinuant et flatteur à proportion qu’ils ont besoin de vous. Ils vous jugeront avec une fausseté infâme que vos intérêts leur sont aussi chers que les leurs ; mais ne croyez pas et bouchez vos oreilles aux chants de ces sirènes. »