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Y a-t-il des sciences exactes ?

6 octobre 2019, 11:34, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

JFP¦¦15092019¦¦Depuis l’article origine d’un dialogue sur forum¦¦[Y a-t-il des sciences exactes ?] un très grand saut pour aller à celui lদ[L’expérience des fentes de Young et la dualité onde/corpuscule] et celui là nous fera faire un autre saut quantique pour aller দ[Qu’est-ce que l’expérience des fentes de Young et quelle en est la conséquence ? ] et c’est dans ce dernier que nous avons laissé un commentaire. Ces deux articles ont des plus de chaque coté par rapport à un tronc commun, et pour être dans le vent d’une hypothétique dialectique, nous pourrions dire aussi qu’il y a des moins et des plus de chaque coté, où ces mêmes articles deviennent relatifs. Le PLUS d’un article est ce que l’autre n’a pas et le MOINS est ce l’article n’a pas par rapport à l’autre article, et cela s’inverse forcement pour l’autre article. On pourrait imaginer que ces articles soient des particules élémentaires chargées, et que malgré des charges opposées de ces particules, un tronc commun existe ‼‼ C’est fou comme on peut voir des particules comme des articles ‼‼
▬Le plus de cet article est un extrait de phrases de Paul DAVIES dans"Les forces de la nature" qui est déjà un extrait¦¦
▬[Nous avons vu que l’hypothèse du photon implique que les ondes électromagnétiques se comportent parfois comme des particules. Inversement, des objets généralement considérés comme des particules, tels que les électrons, peuvent se comporter de façon floue comme s’ils étaient étalés dans l’espace. En 1924, Louis de Broglie suggéra que cet étalement associait aux particules de matière un comportement d’onde. (…) ]
▬Ce que nous retenons dans ces phrases est déjà le mot "FLOU" pour l’électron, et il assez amusant de constater que les mêmes adjectifs soient employés que les nôtres, car nous avons envoyé un message où l’on dit que l’électron est un objet "FLOU" sans vraiment de frontière où limites franches, et que que nous avons déjà utilisés dans d’autres messages, et donc qu’il y a un même langage, et que de plus nous n’avons jamais rien lu, sur ce sujet de flou pour un électron... Un deuxième mot est "ÉTALÉ" toujours pour l’électron, et cela correspond encore à notre vision de voir cet objet comme quelque chose s’étalant dans l’espace et où un centre fictif existe mais change constamment d’endroit car la constitution de l’électron se défait en partie et se refait constamment. Voici notre phrase dans une message juste avant celui-ci ¦¦[L’électron n’est pas un corpuscule limité, mais justement flou et déformable et s’étalant, et donc ce que l’on teste n’est pas le vide, mais son extension ‼‼]. Ce que nous aimons c’est que Louis de Broglie disait la même chose,en parlant d’étalement... et pourtant nous sommes des vrais candides, car nous ne connaissons pas les écritures de ces scientifiques, et cela nous fait du bien d’inventer les mêmes choses que des personnes réputées. Nous avons donc les mêmes intuitions, et nous découvrons que nos idées sont déjà celles de grands scientifiques, et donc que nous n’inventons rien , car cela existait déjà, mais fallait-il le savoir, car nous commençons à connaître certaines choses, seulement depuis que nous consultons des articles par des extrait de ce site "Matière et Révolution". De dire que l’électron à autour de lui un nuage de polarisation, c’est en fait pour nous son extension, c’est à dire que ce nuage est lui-même et n’est pas une chose externe, mais lui appartient, ainsi de parler de champ quantique l’entourant, cela n’est guère mieux, car ce champ est encore l’électron et non les particules virtuelles dont on veut nous dire. L’électron s’étale dans l’espace avec une plus grande concentration à des endroits qui se défont et se refont, et cela n’est donc pas un objet avec une dimension fixe.
▬Autres phrases du plus de l’article¦¦[Les diverses expériences du type de Young ont amené les scientifiques à rejeter successivement toutes les interprétations sur la particule, qu’elles soient de type corpusculaire (comme des corpuscules ponctuels et localisés) ou ondulatoire (comme des objets non localisés produisant des interférences). Cela signifie qu’il faut aller plus loin dans la remise en question des idées reçues sur la matière et … le vide.]
▬Pourquoi rejeter la notion de corpuscule, car un corpuscule peut être assimilé à un paquet de TRUCS pour éviter la notions de grains, et que ces TRUCS sont distants entre eux mais forme la particule, et donc que ces TRUCS bougent, ou sautent, disparaissent et réapparaissent, mais qu’une grosse partie de ces TRUCS forment toujours l’électron. On a donc un objet non en DURE comme on pourrait le dire mais justement un objet en MOU et donc déformable à volonté, et ce dernier s’étalant dans l’espace ou des TRUCS faisant partie de lui-même sont assez loin d’une sorte de noyau se défaisant et se refaisant constamment. On comprend alors que quand cet électron avec sa structure molle arrive sur les deux fentes, ce dernier peut totalement se diviser en deux parties, non comme un corpuscule en DUR. Pour nous il y a une division de l’électron, mais celui-ci après passage par les deux fentes se reconstruit, mais il y a alors une sorte oscillation qui se produit comme si les deux partie s étaient liées mais ne feraient pas partie du même bloc. C’est comme si on avait deux paquets de TRUCS quand même reliés, mais ne formant pas un bloc homogène, et donc une forme de résonance dépendant de la géométrie des fentes et de leur dimensions. La phrase qui suit vient à l’encontre de ce concept disant que l’électron est mou et s’étzle dans l’espace¦¦
▬[Tout d’abord, il est clair que quelque chose passe à la fois par les deux trous quand le corpuscule, lui, ne passe que par un seul : le vide. Mais ce vide est-il si vide ? Non, il est plein de particules et antiparticules virtuelles (fugitives qui ne durent que des temps très brefs).]
▬Cette façon de voir est presque similaire à notre conception, car on attribut un nuage de polarisation à l’électron, comme si il était une entité à part, et que se nuage traverse bien les deux fentes, mais que le corpuscule électron ne passe que par une fente. Si on considère que ce nuage appartient à l’électron et qui est lui-même l’électron, et bien cela revient strictement au même, sauf que le corpuscule n’est plus passé par une seule fente, car le corpuscule se déforme prenant une une structure et se divise même pour passer par les fentes, et se reconstruit juste après mais ne se reforme pas comme un ensemble immédiatement, mais que ces deux parties font toujours l’électron, mais reliées, comme si l’électron vibrait et où deux parties sont bien rattachées mais distantes et se reformant et se déformant. Une fois que l’une des deux paries touche l’écran de réception, alors l’électron se reforme pour ne former qu’un seul bloc, et s’écrase sur l’écran.
▬Dans cette façon de voir l’électron, on comprend qu’il puisse être assimilé à une onde, car en réalité le corpuscule électron n’est pas un objet en dure, mais en mou et s’étale dans l’espace et est constitué d’un paquet de TRUCS donc on a l’impression que l’électron est une onde, car il semble vibrer ou osciller. De toutes façons pour nous les ondes stationnaires n’existent pas, car une onde est un déplacement dans une direction donnée et non un va-et-vient. Nous comprenons très bien la façon de résoudre le problème de passage d’électron ou photon où un nuage de polarisation passe à travers les deux fentes et non le corpuscule qu’il soit électron ou photon individuel, mais nous n’optons pas dans ce concept innovant. Ceux veut dire aussi que le photon se divise mais reste aussi en commun par les 2 parties.
▬Voici le message envoyé sur le deuxième article, mais envoyé à part car le message devient trop gros¦¦SUITE...
▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

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