Accueil > ... > Forum 46817

Y a-t-il des sciences exactes ?

1er octobre 2019, 17:21, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

JFP¦¦01102019¦¦Dans ton retour du 29092019 08:13 du même article sur le sujet matière/lumière, tu nous invites d’aller voir cet article intitulé "Quelle relation entre matière et lumière ?".
▬En début d’article tu parles d’énergie thermique, mais qu’est-ce que l’énergie thermique physiquement si ce n’est qu’une énergie cinétique transmise aux électrons pour qu’ils changent de couche. Cela est notre interprétation et conception¦¦C’est en fait l’énergie cinétique de certains électrons donneurs qui se cognent (avec des amortisseurs Robert (marque déposée)) avec des électrons receveurs d’atomes voisins où le donneur se voit descendre de couche et le receveur augmenter de couche. La notion de chaleur est en réalité une augmentation du diamètre de la couche externe où se trouve les électrons de valence et la transmission se fait donc par la couche externe du donneur à la couche externe du receveur, et cette énergie n’est pas thermique car cette notion veut dire quoi physiquement Ɂ C’est bien le problème de ces physiques car des énergies et des notions mais on ne sait pas les définir physiquement. Pour nous, transmettre de l’énergie c’est transmettre du mouvement, et donc de l’énergie cinétique, par le fait de chocs, même si on aime pas ce terme car des amortisseurs existent, car nous n’avons pas vraiment le droit à ces chocs par contact, mais la transmissions se fait quand même par une énergie cinétique même sans choc, car peu importe si il y a des caoutchoucs pour éviter que les entités se touchent, où il y aura une perte d’énergie cinétique pour le donneur en redescendant de couche et pour le receveur une augmentation du diamètre de la couche externe en sautant de palier. Pour résumer le donneur se voit descendre d’une couche externe et le receveur se voit passer à une couche de valence supérieure, ce qui fait que le donneur refroidit et le receveur s’échauffe, mais cette chaleur n’est pas une vraie notion de chaleur mais un simple passage à une couche inférieure ou supérieure, et il y a donc un équilibre de transmission d’énergie entre donneur et receveur, et dans ce cas c’est d’atome à atome. Dans le cas de transmission de chaleur sur l’atome par la lumière, le procédé change forcément car la lumière n’a pas de couche pouvant réduire ou augmenter, c’est donc des chocs et sans doute de vrais chocs par quanta de photons ou certains électrons changent et passent de couche supérieure. Dans ce cas les corpuscules photons sont perdu et se noient dans le vide, et l’énergie cinétique des photons est transmise aux électrons permettant de passer à une couche supérieure. Si le ou les photons arrivant sur l’atome sont de la même fréquence que l’atome, alors cette transmission devient particulière, car ce ne sont plus les électrons qui sont pris en compte mais le noyau atomique de l’atome, et où se noyau restitue le photon émis après une temporisation correspondant à la fréquence de l’atome. Il y a donc des photons calibrés qui change momentanément le noyau, et des photons non calibrés qui servent à faire augmenter de couche certains électrons, et donc 2 mécaniques différentes. Le photon ne contient pas de chaleur indépendamment de sa fréquence, mais quand il est absorbé il fait changer une couche d’électron ou si il est calibré et absorbé par le noyau à la résonance de l’atome, la masse du photon est prise par le noyau et rejeté au bout d’une durée très courte correspond à la fréquence de l’atome, et dans ce procédé ce sont les élections du plus bas niveau dit de couche hyper-fine qui change de couche le temps de l’absorption du photon calibré par le noyau. Une fois qu’il y a rejet de la micro-masse du photon par le noyau, les électrons de bas niveaux reprennent leur place initiale, et la micro-masse rejetée redevient photon. Quand des électrons sont arrachés par des photons c’est que l’énergie cinétique des quanta de photon est très grande. Quand l’énergie de photon est trop faible pour faire changer de couche des électrons, alors les photons sont réfléchis. Il y a donc des mécaniques différentes suivant les fréquences des photons arrivant sur l’atome et aussi la quantité de photons qui joue aussi pour une autre mécanique d’arrachement. Tout ceci ne sont que des idées mais non spéculatives pour autant.
▬Nous notons cette phrase¦¦[Déjà, il convient de rappeler que lumière et matière sont tous deux quantiques, qu’ils se comportent comme des paquets de grains, les quanta, contenant tous la même quantité d’un paramètre physique appelé « l’action » et qu’ils sont quantiques au sens qu’ils sont probabilistes et fondés sur la dualité onde/corpuscule.]. Ce que nous aimons dans ces phrases c’est que l’on parle de grains, mais le grain est pris d’un niveau supérieur car on parlera plus loin du grain de lumière et donc du photon et non des grains constituants le photon. autre phrase parlant de choc¦¦ [De la matière peut se transformer en lumière comme dans le choc de deux particules suffisamment accélérées ou de la lumière se matérialiser. Cela montre que l’opposition entre matière et lumière n’a rien de diamétrale.]. Que doit-on comprendre de ces chocs si la matière ne se touche jamais Ɂ C’est bien ce que tu nous dit, où les atomes ne se touchent jamais.
▬Autre phrase¦¦[La matière ne perçoit une autre matière qu’au travers de ces bosons, donc de lumière. Par exemple, deux particules électriquement chargée interagissent (force électromagnétique) au travers de bosons lumineux.]. Nous revenons à la charge (drôle) pour savoir si deux atomes voisins peuvent interagir par leur électrons de valence Ɂ Si chaque atome ne peut empiéter sur un autre atome voisin, c’est que forcément il y a des échanges entre atomes, et la lumière ou boson n’est alors pas une obligation d’être utilisée pour que les atomes communiquent entre eux ‼‼ Rien que les positions des atomes dans un solide définit bien qu’il y a communication entre atome proche.
▬Une partie des explications de Richard Feynman¦¦
▬[Quand la particule (ou l’atome) émet du rayonnement électromagnétique, d’où vient le photon (grain de lumière) dans la matière, à quel endroit pouvait-elle être stockée dans la particule ou l’atome et dans quel lieu peut-elle être stockée quand la lumière est absorbée par la matière ?
Quand la lumière est réfractée ou réfléchie, comment sait-elle si elle doit être l’un ou l’autre et quel niveau interne à la lumière rétroagit avec celle-ci pour lui indiquer le passage d’un milieu à un autre, d’un indice lumineux à un autre ?
Quels sont les mécanismes de la matière permettant ce type de phénomène ou encore l’émission de particules alpha de rayonnement lumineux dans le cas de la radioactivité naturelle ?
L’explication de ces phénomènes étranges ne s’est pas révélée possible si on considère la particule comme un élément unique, indépendant du milieu (le vide). En effet, elle réside dans le fait que le photon qui va quitter une particule (ou n’importe quelle matière) existait préalablement à proximité de celle-ci, dans une zone appelée le nuage de polarisation de la particule, c’est-à-dire une zone du vide quantique qui est polarisée par la présence de la particule. Dans cette zone les couples de particules et d’antiparticules peuvent être individualisés et s’accoupler avec d’autres particules. Toutes les particules qui existent à l’état réel sont aussi potentielles dans le vide quantique et on les appelle virtuelles. Lorsqu’elles forment des couples virtuels de particule et antiparticule, elles peuvent devenir des photons. Les deux états (réel et virtuel) ne sont pas dans une opposition diamétrale mais se transforment l’une dans l’autre. Si un photon communique son énergie à une particule, il disparaît parce qu’il devient virtuel. Si un photon virtuel reçoit de l’énergie de la particule, il devient réel et donc observable. Par exemple quand un électron atomique saute d’une orbite à une autre, il rend de l’énergie qui permet à un photon de devenir réel.
Tous les phénomènes étranges de la physique quantique sont ainsi interprétables par des phénomènes liés au vide quantique. La particule, objet élémentaire, est remplacée alors par un nuage de particules et d’antiparticules ainsi que de photons qui échangent sans cesse entre eux la propriété de masse matérielle et réelle.]
▬D’après les explications de Richard Feynman les photons pré-existent plus ou moins proche de la particule et en l’occurrence de l’électron, car il considère qu’il y a un nuage de polarisation autour de l’électron qui est la source permettant de créer des photons. Le problème de cette vision est que l’électron n’est pas vraiment statique car il change de géométrie et de forme constamment, sans d’ailleurs savoir comment il passe d’une forme à une autre. Cela voudrait dire que le nuage suit ces déformations de l’électron. Il considère que l’électron n’est pas un élément unique mais une particule toujours accompagné d’un nuage de polarisation. On peut se demander pourquoi le nuage serait chargé électriquement, mais pourquoi pas, et il est dit que c’est la particule qui polarise ce nuage. Nous avons une autre approche en disant que des grains de matière sont présent autour de l’électron, et sont déjà chargés positivement ou négativement ou encore non chargé comme neutre, et ce n’est donc pas la particule qui polarise le nuage et donc pour nous les grains, car ces dernier sont déjà chargés. Pour nous les particules virtuelles ne sont pas une copie conforme des particules dites réelles, mais des groupages de grains autour de la particule réelle qui est pour nous déjà une sorte de nuage flou, car les grains qui composent la particule réelle ne sont pas regroupés en un lieu précis mais s’étalent sur un volume de l’espace. Nous ne croyons absolument pas que les dites particules virtuelles sont comme les particules du réelles, car ces particules virtuelles sont pour nous des groupages de grains qui sont des résidus ou ressources supplémentaires où il y a échanges entre réel et virtuel, mais le virtuel ne ressemble en rien au réel, ce qui veut dire qu’il n’y a pas de photon, d’électron, de proton, de neutron et autres virtuels, car se qui stationnent autour de l’électron ne sont que des résidus qui ne s’assemblent pas, faute justement de quantité suffisante, et aussi d’organisation, et c’est justement parce que l’électron est présent que ces grains résiduels virtuels ne peuvent pas s’assembler. Dans le sens de particules virtuelles et d’anti-particules virtuelles dans ce qui est dit, est que des grains de charges opposées sont présent mais ne forment pas des particules virtuelles, et ce simplement parce que la quantité e grains est insuffisante. Nous ne croyons pas non plus que des particules du réel puissent se transformer en virtuel et réciproquement. Nous somme plus ou moins d’accord sur cette phrase [Si un photon communique son énergie à une particule, il disparaît parce qu’il devient virtuel.] Nous dirons pas tout a fait cela, en disant que l’énergie cinétique du photon est absorbé par l’électron, et les grains du corpuscule du photon sont restitués au vide, et redeviennent des grains chargés négativement ou positivement. Cette énergie cinétique absorbée fera passer l’électron à une couche supérieure. Pour nous quand des photons sont générés a partir d’électrons, c’est que ces électrons passent à des couches inférieures, et le fait de passer à des couche inférieure fait que les résidus de grains composant le nuage peuvent se transformer en photons, car la mécanique est que les grains libres ou paquets libres virtuels se regroupent et s’assemblent et sont alors réfléchis par l’électron lui-même ayant changé de couche. C’est une sorte d’implosion ou les résidus de grains se précipitent vers l’électron qui change de couche, et se rassemblent et se régénèrent en photons et ensuite sont expulsés par l’électron. Dans notre vision il n’y a pas de pré-particule ni de pré-photon en attente ou qui se créer en construction semi-permanente, car les échanges qui se font sont ceux entre des grains externes de l’électron et des grains résiduels du virtuel et donc du vide proche de la matière. Cela nous fait penser à la matière dite noire ou grise à laquelle nous ne croyons pas, et bien si le virtuel est absent, les émission de photons sont impossibles, et on peut considérer que la matière noire n’émet pas de lumière simplement parce que il n’y pas de vide ressource permettant de créer des photons, ce qui fait que cette matière absorbe mais n’émet pas, mais ceci est un autre sujet. Cette phrase semble belle [Si un photon virtuel reçoit de l’énergie de la particule, il devient réel et donc observable.] mais en réalité aucun mécanisme n’est décrit, car comment un photon virtuel recevrait t-il une énergie de l’électron. Les photons peuvent être créer soit par un changement de couche allant vers le bas soit par un changement de couche allant à l’opposé du noyau, et dans un cas c’est une sorte d’implosion et dans l’autre car une sorte d’explosion. Le fait de décomprimer ou de compresser un espace remplit de grains libres permet une concentration de grains créant ainsi un photon. Pour nous la création de photons à partir de matière est que c’est une variation de couche d’électrons. Pour résumer Feynman considère qu’il y a autant de particules réelles que de particules virtuelles, et que le virtuel ne peut se matérialiser par faute ’énergie. On peut se demander de quelle type d’énergie dont on parle, car qu’est que l’énergie d’un électron pour qu’il existe. Cette réflexion sur l’énergie manquante aux particules virtuelles est aussi la même que Étienne Klein mais largement mieux conté. Il n’en reste pas moins que nous ne savons pas à quoi correspond cette énergie manquante pour des particules virtuelles puissent se matérialisée et rester dans notre réelles.
▬Pour résumer, nous ne croyons pas à ces particules virtuelles de tous genres, mais nous croyons à ce nuage de polarisation, mais ce nuage n’est pas polarisé par la particule mais par lui-même, car chaque grains de ce nuage est déjà chargé positivement ou négativement, et où il y a des échanges entre ce nuage et la particule. En réalité il y a un équilibre de charge entre particule et nuage, ou les grains seront ordonnés d’une certaine façon. Une question nous vient qui est de savoir si Feynman tient compte de la couche de la particule et en l’occurrence de l’électron. Nous pensons que les différents électrons par couche, ont des comportements différents suivant les couche et une organisation interne aussi différente, c’est à dire une structure différente suivant la couche où se trouve tel électron. Nous n’avons pas encore lu les renvois de cet article et il sont nombreux...
▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.