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Y a-t-il des sciences exactes ?

1er octobre 2019, 13:33, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

JFP¦¦01192019¦¦Compléments du principe_1 de la notion de GRAIN, et compléments du principe_2 qui est la notion de charge positive ou négative et même neutre des GRAINS. Toutes particules quelconque comme boson ou fermion sont des particules dites élémentaire mais deviennent dans nos concepts des "particules composées" pour faire la distinction avec des particules composites que sont en générale proton et neutron. Chaque type de particule différent à forcément un nombre de grains différent, car se sont des quanta de grains différents. Nous ne savons pas déterminer le nombre de grains pour une particule donnée d’autant que certains bosons comme les photons n’ont normalement pas de masse, mais nous considérons que le fait de ne pas trouver de masse à ces entités est que leur masse réelle est infime et donc non détectable. Il serait très difficile de définir le nombre de grains d’un photon, ne sachant pas d’ailleurs si la fréquence est liée au nombre de grains. Dans nos concepts les photons ont une masse, et ces mêmes photons sont constitués de grains en quantité que nous ignorons. L’unité de masse qui est le grain, est sans rapport avec celle de Planck, car nous nous adressons à des échelles bien inférieures aux quanta et à la constante de Planck. Ce que nous savons faire c’est de donner des rapports de masse entre certaines particules qui ont forcément une masse. Ainsi le neutrino à une masse très inférieure à l’électron, et pourtant ce neutrino à une grande quantité de grains, malgré que sa masse soit infime. Donc le neutrino est un fermion qui possède moins de grains que l’électron. Le nombre de grains positifs et négatifs doivent être égale pour le neutrino, car ce dernier ne possède pas de charge, et ceci est une façon de définir des particules ne possédant pas de charge, car les PLUS et les MOINS s’annulent. Une autre façon de définir une charge neutre est de dire que les grains d’une particule n’ont pas de charge et donc n’ont pas de SPIN, mais nous ne croyons pas vraiment à cette possibilité, car ce qui tient à une particule d’être ce quelle est, sont des liens entres les charges différentes. Néanmoins on peut concevoir pour une particule de charge neutre d’avoir un mixage des 3 types de grains, aussi les grains de charges positif et les grains de charges négatif sont en nombre égale, et viennent se rajouter des grains neutre ne possédant pas de charge. Maintenant l’organisation et donc la géométrie interne de la particule constituée de grains reste une interrogation.
▬La constitution d’un électron est un assemblage de grains positifs et de grains négatifs et peut être un ajout de grains neutres. Comme l’électron est de charge négatif, cela veut veut dire qu’il y a au moins 1 grain supplémentaire de charge négatif. Faut-il plusieurs grains négatifs pour que la charge externe d’une particule soit négative Ɂ Et bien nous pensons que NON, car un seul grain fait basculer la charge d’une particule, mais ceci demande à être encore réfléchit. Le point d’interrogation est de savoir comment s’organise ces grains de charges différentes au sein d’une même particule, car est-ce par couche d’une même charge ou un mixage ou autre, et bien nous n’en savons rien... Nous ne pouvons donc pas définir une géométrie de charge, d’autant qu’une géométrie peut changée et s’arranger autrement. Ce qui tient la particule à être se qu’elle est, ce sont les charges différentes et même identiques de ses grains, où il y a forcément des interactions entre ces grains et donc des échanges. Est-ce que des grains d’une même particule peuvent se heurter, et bien nous n’en savons rien non plus... Trouver des nouvelles notions qui sont simples, posent beaucoup de questions. Ce qui est sûr pour un électron, c’est qu’il n’y a pas de densité homogène de ses grains, et donc que cette particule reste floue car la frontière n’est pas claire, et ceci est d’autant plus vrai que des grains sont expulsés de la particule et d’autres arrivent fonction de ce vide plein de particules virtuelles. Ce qui s’échange avec le vide ne sont pas des particules mais des grains ou des paquets de grains. Les particules virtuelles étant elles-mêmes constituées de paquets de grains qui sont soient de charge identiques soient de charges mixées, voir même sans charge. Le vide proche de la matière est une réserve sans fin de paquets de grains servant aux interactions des particules dites réelles et donc échangeant avec ce vide. Il est dit que les particules virtuelles se font et se défont constamment, et bien pour les particules dites réelles cela est la même choses, sauf que ce n’est pas deux particules réelles qui s’échangent entre elles, mais le vide par ses particules virtuelles constituées de grains, et des grains des particules réelles.
▬Ce que nous sommes sûr c’est que neutron, proton et électron ont des communs entre eux. Un neutron est un assemblage d’un proton et d’un électron, car additionner les masses nous donne bien ce résultat, comme encore addition les charges PLUS et MOINS nous donne bien une charge neutre. Ceci prouve que la neutralité peut est un équilibre de charges opposées. Comme le neutron est neutre comme son nom l’indique c’est qu’il est constitué d’autant d’électrons négatifs que de positrons positifs. Extraire un électron au neutron, il devient forcément proton. Extraire un positron du neutron, et bien il devient l’anti-proton de l’anti-matière. C’est aussi simple que cela mais très difficile à réaliser, car on est obligé de collisionner des neutrons entre pour espérer avoir des atomes d’hydrogène, mais tout cela n’est que sur papier. Une collision d’un neutron avec autre chose, donnera bien un proton, un électron et même un neutrino supplémentaire, mais ces nouvelles particules ne s’assemblent pas forcément. On peut comprendre que le choc violent puisse éclater le neutron en grains élémentaire, et que ces grains se reforment pour générer des électrons et des positrons, et qu’un assemblage final créer un proton. Comme déjà dit un proton n’est rien d’autre qu’un neutron dont un électron à été expulsé et devenant demi libre car rattaché au proton. Quand on compte en protons, il faut forcément additionner les électrons correspondant. On pourrait même considérer que proton-électron forment une même particule mais particulière.
▬Les nombres d’ électrons et de positrons formant un neutron ou un assemblage d’un proton-électron est de 1836 électrons et positrons. Donc il y a 1836/2=918 électrons et 918 positrons formant un neutron ou un assemblage particulier de proton-électron car il y a un électron externe. Ces nombres de 1836 et 918 sont des nombres magiques.
Prenons le neutron de 1836 éléments et divisons le par 3 pour obtenir des quarks 1836/3=606 éléments, et donc un quark du proton contient 606 élément qui se partagent entre électrons et positrons. Si on divise 606/2=303, on obtient 303 électrons et 303 positrons pour un quark du proton. Et bien le proton est presque identique au neutron, car il y a bien 3 quarks de 606 éléments et donc de 303 électrons et 303 positrons par quark, mais l’un des quarks possède en moins un électron, car ce dernier est a l’extérieur et fait partie. Cela nous donne que pour le proton sans son électron externe 2 quarks de 606 éléments et un quark bancale de 605 éléments, ou dit autrement 1836/2=918 positrons, et (1836/2)-1=917 électrons. Sachant que ces éléments que sont des électrons et de positrons qui sont des assemblages en grands nombres de grains. En procédant comme cela il n’y a pas de fraction de la charge élémentaire, car L’électron est toujours égal à UN et le positron à MOINS UN. Nous nous passons donc de cette chromodynamique quantique qui n’est que pour palier et répartir des charges, mais qui nous semble peu convaincante, car fractionner la charge élémentaire nous parait complètement faux. Cette nouvelle science de chromodynamique quantique admet aussi qu’il puisse y avoir que 2 quarks par proton, si bien sur on utilise des anti-quarks. Et bien à partir de ce nombre 1836 éléments et 1836/2=918 éléments par quark si il y en a deux, ce 918 est encore à diviser par deux pour répartir les positrons et les électrons donc 918/2=456 positrons et électrons par quark mais l’un des deux quarks aura un électron en moins. Donc premier quark constitué de 456 positrons et de 456 électrons, et le deuxième quarks est la même chose mais possède un électron en moins. Là encore pas de fraction de la charge élémentaire, mais encore un déséquilibrage qui permet justement que la particule soit stable. Il est curieux d’ailleurs que la stabilité soit réalisée par quelque chose de bancale
▬Ce nombre de 3 quarks n’a été repéré que par des collisionneurs de particules, définissant 3 bidules, 3 choses que composent un proton ou un neutron, mais dans des conditions particulières car ces particules composites ont été testée unitairement, ne correspondant pas un atome un peu plus complexe. Nous disons simplement que ces 3 quarks sont vrai mais seulement quand ces protons ou neutrons sont isolés. Dans d’autres contextes le nombre de quarks ou paquets est forcément différent. Nous t’avions déjà donné cette façon de voir les choses dans un autre message, voici notre magie¦¦
1836/N N=1, 2, 3, 4, 6, 9, 12, 17, 18, 27, 36, 51, 68, 102, 108, 153, 204, 306, 459, 612, 918, 1836. Et oui ce nombre de 1836 est vraiment magique permettant d’avoir plus de quarks que sont en réalité des paquets d’éléments. Mais ces beaux sous-multiples sont encore trop réduits pour pouvoir organiser encore par d’autres façons que la belle division et répartition. On peut très bien imaginer qu’il puisse y avoir des paquets d’éléments différents, et là c’est le vrai miracle, car on comprend que la chimie n’est pas à ses fins pour comprendre ce qu’est l’atome. Tout en gardant la même masse, et la même charge, la répartition intérieure des éléments du proton et du neutron doit donner des structures différentes de géométrie agissant du coup sur l’extérieur au niveau des charges qui sont des forces. De trouver que proton et neutron n’ont que 3 quarks n’apporte strictement rien au niveau de la compréhension des protons et neutrons. Ceci est tellement vrai que le neutron associé au noyau à une durée de vie qui est sans rapport quand il est isolé. Il y a donc des échanges qui se font et ce échanges permettent de changer de structures internes.
▬Encore une petite chose à dire sur ces anti-trucs, ces anti-bidules, c’est que l’anti n’est que l’opposé en charge, et que l’anti-neutron n’existe pas, comme d’autres anti. On essai de nous dire que les charges opposées ne sont pas les seules critères pour définir les anti-choses. Et bien nous dirons que cela ne tient pas la route, car la gravitation agit de la même façons sur les choses ou anti-choses, comme encore les forces. Ne connaissant pas trop ces domaines concernant les anti-choses, nous te demandons des choses à lire si cela ne te coûte pas trop. Pour le redire encore notre modèle de matière par rapport à l’autre modèle possible qui est l’anti, les effets d’avoir un centre positif et des externes négatifs, ne donnent aucune différence que d’avoir un centre négatif et d’avoir des externes positifs. La nature aurait pu opter pour l’autre forme d’anti, mais c’est totalement le hasard qui a été retenu et sans choix. D’ailleurs on peut même supposer que des portions d’espace regorge du contraire de notre matière sans que la lumière que nous percevons puisse définir des différences. Il serait drôle que l’on nous dise qu’il existe des anti-photons ‼‼ Merci pour tes retours.
▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

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