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Y a-t-il des sciences exactes ?

29 septembre 2019, 12:24, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

JFP¦¦29092019¦¦Sujets¦¦Émission de photons par la matière chauffée et qu’est-ce que la chaleur et l"électron ‼‼ Nous regroupons et reformulons nos idées et nos concepts pour être plus clair et concis¦¦Un des principes que nous avons déjà formulé est de dire que les toutes les particules élémentaires n’en sont pas, car ces briques élémentaires sont déjà constituées par d’autres éléments plus petits que nous avons appelé des GRAINS ÉLÉMENTAIRES. Ainsi quarks, électrons, photon, bosons, neutrinos... ne sont pas élémentaires car ils sont composés par d’autres éléments plus petits. On peut donc dire que les particules élémentaires sont en fait des paquets de grains, mais des paquets calibrés en nombre correspondant donc à des quanta de grains bien précis. La différence entre ces différentes particules élémentaires est la quantité de grains élémentaires composant les particules élémentaires, ainsi l’électron n’a pas la même quantité de grains qu’un quarks précis, de même qu’un neutrino. Comme les particules élémentaires sont une fin de ce qu’il y a de plus petits, il n’y a donc pas de mots adéquats pour désigner des divisions de ces particules élémentaires. Nous avons choisi ce mot de GRAIN qui est simple, pour avoir une image d’un tas de grains, et ainsi une particule élémentaire est un tas de grains comme un tas de sable. Il faut aussi comprendre que le grain qui semble l’unité élémentaire et de base pour constituer des paquets ou quanta de grains définissant ainsi les dites particules élémentaires, ce grain est lui-même composé par d’autres éléments encore plus petits. Mais nous ne descendrons pas plus loin que le grain élémentaires pour pouvoir expliquer des notions scientifiques, comme la chaleur et les émissions de photons à partir de matière chauffée. Voici des mots correspondants à des division d’un ensemble¦¦miette, fragment, fraction, portion, division, glanure, éclat ,morceau, fragment, granule, spore, germe, et le mot GRAIN nous semble plus adéquat pour avoir une unité de base, même si cela peut sembler difficile en conception, car un grain dans notre langage courant n’est pas une finalité, car il peut être encore être divisé en plusieurs éléments...
▬De ce principe simple où les particules élémentaires deviennent des particules composites, on peut alors comprendre plus facilement le comportement de l’électron qui n’est ni un corpuscule, ni une onde, mais un groupement de grains complètement déformable et où sa structure en tas de grains change de géométrie suivant les circonstances et les événements lui arrivants. Allant encore plus loin dans nos concepts, on peut même dire que le GRAIN de base possède un SPIN et que ce spin se retrouve dans l’électron ou le positron qui est exactement le même élément composite mais de charges opposées. Pour avoir une image de cette électron, nous avons imaginé que l’électron est une sorte d’essaim d’abeilles, où l’essaim est un concentré d’abeilles, mais que des abeilles indépendantes et rattachées à la même colonie sont hors de cet essaim. Ceci n’est qu’une image poétique, histoire de visualiser l’électron comme étant quelque chose de flou qui se fait et se défait constamment, car des abeilles s’en vont mais d’autres viennent donnant toujours ainsi un équilibre de nombre d’abeille à l’essaim. Mais dans cette image d’essaim beaucoup d’abeilles sont concentrées en un repère précis, et cette image est un peu fausse, car il faut voir que le cœur de l’électron se fait et se défait aussi constamment, et pour nous il y a une concentration de grains sans que ces grains se touchent et où l’ensemble des grains de l’électron donne une image flou ayant une plus grande concentration vers le centre de cet ensemble, mais que ce faux cœur peut se retrouver ailleurs dans cet ensemble reformant du coup un ensemble homogène mais flou ou les grains les plus extérieurs sont presque indépendants de l’ensemble. On a donc dans cette image un objet non précis constitué par une multitude de grains qui sautent constamment et qui donnent une image instable à l’ensemble, car le cœur de cet ensemble n’est pas figé à un endroit précis, mais se décompose pour se reformer ailleurs. Nous avons assimilé chaque grain à une abeille, mais cet insecte est remplacé par un autre insecte plus petit qui est le/la SYRPHE ou SYRPHIDE ou SYRAFPHIDAE qui est un insecte très curieux et qui fait du surplace en vol et se déplace par sauts très rapides successifs où on a du mal à comprendre la trajectoire de cet insecte. De cette image très particulière en mouvement constant, on peut alors comprendre que ’électron puisse se déformer pour traverser des fentes comme dans les expériences, car si une partie de l’électron commence à traverser une fente le reste de cet électron suivra pour pour prendre le même chemin. La largeur de la fente n’est donc même plus un obstacle ou contrainte, car l’électron s’adaptera en se déformant pour traverser la fente même si ce dernier est plus large que la fente. Dans cette façon de voir les choses, on nous dit alors que l’électron est une onde, mais pour nous une onde stationnaire n’existe pas ‼‼ On peut dire de cette image flou que l’électron rayonne, mais son rayonnement revient systématiquement à lui.
▬De cette image floue de l’électron on peut aussi comprendre que la chaleur est une énergie cinétique portée par d’autres atomes et donc d’autres électrons, et que ces électrons transmettent cette énergie cinétique à des électrons receveurs où ces derniers changent de couches électronique en s’éloignant de leur noyau. Plus les électrons reçoivent de l’énergie de "chaleur", plus ils s’éloignent du noyau en changeant de couche en augmentant leur volume. Une énergie de ’chaleur" n’est autre que des électrons soient dans des couches électroniques supérieures par rapport à leur état normal et sans apport de photon. Par raccourcis on peut dire que ce qui donne de la chaleur n’est autre que les couches électroniques de valence qui ont augmentées en volume et donc en énergie, et donc sans doute en vitesse, mais sur ces vitesses de l’électron nous ne savons rien, alors on ne parlera pas de mouvement de l’électron, mais seulement de mouvement des grains constituants l’électron. Donc plus un atome est chauffé plus il reçoit de l’énergie cinétique d’autres électrons d’atomes différents, et de cela l’électron transmetteur se refroidit en régressant de couche mais transmet cette énergie à un électrons de valence receveur, qui lui permet de changer de couche électronique en s’éloignant du noyau. Dans cet état de chauffe de l’atome qui n’est que les électrons de valences se trouvent sur des couches supérieures, les atomes constituant la matière, peut alors émettre des photons. La mécanique de générer des photons, est que les électrons de valence voisins et non du même atome s’entrechoquent. Ce sont ces chocs entre électrons voisins ou partie d’électron qui donnent cette notion de chaleur. On peut considérer que quand les chocs sont trop violent il y a libération de grains des électrons se cognant, et ces grains deviennent alors libres et se rassemblent pour former des photons. Les électrons ayant perdu une partie de leur grains se reconstruiront par l’intermédiaire du vide, ou il y a des ressources pour combler les grains perdus. Pour le redire encore, les électrons ne lâchent pas de photons d’eux mêmes mais perdent des grains de leur constitution, et ce sont ces grains qui se regroupent et forment des photons ou autres. Cette façon de voir la chaleur au travers des couches de valence d’électrons et des chocs de parties d’électrons voisins d’autre atomes, n’a rien avoir avec la résonance de l’atome. Maintenant un atome qui absorbe de la lumière ou photon calibré à une certaine fréquence, est un autre mécanisme que celui de la chaleur. On vient de voir que les photons émis par la matière sont des regroupements de GRAINS perdu par choc d’électrons d’atomes différents, et donc que ces GRAINS élémentaires ont forcément une masse très infime, mais une vraie masse pour autant. Et bien quand un atome absorbe un photon calibré, cela se porte sur le noyau et non vraiment sur les électrons du niveau le plus bas, car la fréquence de l’atome est en fait l’absorption de masse minime et rejet de cette micro-masse pendant une durée très courte donnant justement la fréquence de résonance de l’atome. La chaleur portée par les électrons de valence et même certains autres électrons, à une durée très longue sans rapport avec la mécanique d’absorber un photon, car les mécaniques sont sans rapport.
▬Ces explications délirantes peuvent être une vérité comme peuvent être fausses, mais malgré des physiques pointues, les interrogations à savoir ce qu’est vraiment telle particule et comment ça marche est toujours absent, sauf les lois qui ne nous donnent pas plus d’explication. On peut toujours concevoir d’autres concepts ne nuisant pas l’existant, et si cela est même faux, on a au moins ces concepts qui nous donnent des explications sur des mécaniques que ’l’on n’a pas imaginées et permettent de résoudre les interrogations de ces physiques. L’imagination est plus vraie que les tests ‼‼
▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

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