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Y a-t-il des sciences exactes ?

24 septembre 2019, 18:39, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

JFP¦¦24092019¦¦Suite à ton retour du 1809219 du même article, donnant des liens sur des sites et vidéos sur le sujet de comment mesure t-on la seconde à partir d’atomes de césium 133, qui est notre question initiale ?
▬Dans la première vidéo très courte, il est dit que l’on excite l’ atome, ce qui veut bien dire que l’atome n’est pas excité naturellement, et que cette excitation est provoquée par l’homme ou la nature. On peut donc dire que l’atome ne vibre pas naturellement, mais vibre par des moyens externes que sont des photons provoqués par l’homme ou naturellement. Nous en concluons que l’atome n’oscille pas et ne vibre pas naturellement, mais se met dans des états de vibrations quand il y a des répétitions d’échanges avec l’extérieur où des photons d’énergie calibrée viennent le perturber. De dire que l’atome vibre ou oscille est donc FAUX, car on peut très bien isoler tout atome quelconque de tous les photons, d’autant que ce ne sont que certains photons d’une certaine fréquence et donc d’une certaine énergie, qui sont absorbés par l’atome puis réémis par l’atome lui-même fonction d’une temporisation qui est sa résonance, car il faut pour que l’atome change ces niveaux de couche des électrons, une énergie calibrée correspondant exactement à l’énergie nécessaire pour qu’un électron change de couche pendant une fraction de seconde et revienne à son état stable initial. La conclusion et que l’atome par ses électrons ne vibre pas naturellement, car pour qu’il change d’état de sa stabilité il faut un apport d’énergie calibrée par le biais de photon donnant cette énergie. Quand on dit que l’atome vibre et oscille, c’est qu’en réalité il reçoit de l’énergie appropriée faisant changer son état stable pour le mettre dans un état supérieur d’énergie, et où cet état d’énergie supérieure ne dure qu’une fraction de seconde qui correspond en fait à sa résonance propre entre un état stable et un état excité, mais ces excitations ne peuvent qu’être calibrées et de plus et sans doute que ces changements de niveaux ne se cumulent pas. On en déduit qu’un atome quelconque à une résonance propre à lui-même, et une seule résonance ou fréquence qui correspond à un état stable et un état excité par l’un de ses électrons changeant de couche. On ne sait pas d’après les explications si un atome par l’un de ses électrons, peut cumuler différents niveaux successifs d’énergie. Comme il faut une certaine durée qui se compte en une toute petite fraction de seconde, pour que l’atome excité redevienne à son état normal, c’est cette durée très courte qui est répétée en excitation presque permanente pour dire alors que l’atome vibre, mais les vibrations ou oscillations de l’atome sont en réalité une manipulation externe et non un mécanisme interne de l’atome lui-même. Quand on est candide on ne connaît pas bien ces notions, et le peu d’avoir lu quelques lignes sur l’atome, on croit alors que l’atome est en perpétuel changement comme si il vibrait naturellement, mais en réalité l’atome ne vibre pas, car c’est l’extérieur et dans certaines conditions que des photons calibrés le fait vibrer. C’est ce que nous avions déjà dit, car l’atome temporise par l’absorption d’un ou plusieurs photons et relâche ce ou ces photons, et c’est c cette durée qui sert de résonance et donc de fréquence pour chaque type d’atome. Si on envoie répétitivement un photon calibré de l’énergie nécessaire pour qu’un électron change d’état suivant la résonance de l’atome, cela donne alors une fréquence de répétition du temps de la temporisation, on ne fait alors que de maintenir une vibration répétée, pour que croire que l’atome vibre.
▬Si un atome est dans l’état N1 qui est le niveau non excité, et si en le faisant passer à un niveau supérieur N2 par l’intermédiaire d’un photon d’une certaine fréquence et donc d’une certaine quantité d’énergie, ce nouvel état N2 correspond donc à une certaine quantité d’énergie supplémentaire et forcément calibrée, mais le fait de donner deux fois cette même énergie et d’un seul coup, est-ce que cet atome passera dans un niveau encore supérieur à N3 ? Pour résumer est-ce que on peut faire passer un électron d’un niveau bas N1 à un niveau N3 sans passer par un niveau N2 qui serait un niveau intermédiaire ? Si un électron passe à une couche supérieure et que cet électron est celui le plus externe, normalement l’atome grossit, car on est passé à une couche supérieure. On est en droit de se demander si il y a des limites en niveau de couche ? La mesure du temps par l’atome, ne touche que sur un seul niveau de changement de couche d’un électron, qui correspond à une certaine résonance de l’atome, mais c’est le système d’une horloge atomique qui est le système à impulsion de photons, qui s’adapte à la résonance de l’atome et qui est le vrai dispositif, car l’atome et sa résonance ne sert que d’étalon à calibrer le dispositif. En partant d’une question qui est comment on mesure le temps avec les atomes de césium 133 pour les horloges atomique, on s’aperçoit que l’atome ne vibre pas, mais on le fait vibrer par des procédés qui sont des émissions de photons calibrés en énergie et où la cadence des envoies est réglée sur la temporisation qu’absorbe et relâche le photon. Dans cette compréhension, l’électron ne bouge pas et on s’en moque d’ailleurs, car le principe et de détecter après envoi d’un photon calibré un retour prenant une certaine durée très courte. Maintenant on ne nous dit pas comment on détecte le retour du photon émis et absorbé, puis relâché. A une interrogation donnée sur la mécanique des horloges atomiques, on se pose alors d’autres questions comme ¦¦
▬Peut-on choisir une couche spécifique d’électrons parmi l’ensemble des couches d’électrons que compose un atome ?
▬Si on envoi N1 photons calibrés correspondant aux N1 électrons d’un atome, est-ce que les N1 électrons vont absorber ces N1 photons pour les réémettre en même temps, ou y a t-il une autre résonance de l’atome ?
▬Si on peut envoyé des paquets de photons calibrés pour être absorbés par les électrons d’un même atome, y a t-il alors une quantité limite d’absorptions et donc de photons et plus généralement d’énergie ?
▬Y a t-il des testes réalisés sur des électrons libres, ne correspondant plus à l’atome, et sur les durées d’absorptions de photons ? Et à ce sujet est-ce qu’un électron libre peut-il absorber un photon calibré et le réémettre ?
▬Le fait d’isoler un élément comme le proton ou l’électron change forcément leur structure, car il n’y a plus d’échange avec un environnement, et ce même si on pense que les caractéristiques de l’élément isolé sont les mêmes que si il est introduit dans l’atome. Ceci veut dire que les tests unitaires fausses notre conception de voir les choses.
▬Dans la deuxième vidéo très courte également, on nous dit d’emblée que l’atome de césium vibre à une fréquence de 9 milliards de pulsations par seconde, et la précision donnée de ces horloges atomiques est de l’ordre d’une erreur d’une seconde tous les 100 millions d’années. Si je multiplie 3600×24×365×100000000=3|153|600|000|000|000 soit 3,1536×10E15 qui est le nombre de secondes en 100 milliard d’années, la précision nous semble délirante, car comment savons nous que cette précision soit vraie et que telle rap ce rapport d’erreur soit vraie ?
▬Dans la troisième vidéo très longue c’est plus de la durée de temps dont on parle, et comment on calcule le temps et ▬Dans la quatrième vidéo très courte, l’enregistrement est très mauvais, et donc très difficile à comprendre.
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▬Faut-il croire plus à l’heure atomique que à l’heure astronomique ?Et bien pour nous cela sera ni l’un ni l’autre, car la seconde ou tout intervalle de temps est relatif aux référentiels mis en route ou que l’on subit. Si nous nous trouvons sur la surface d’un trou noir, et ce même si cela est impossible, en regardant notre système solaire, la terre tourne très très vite, de même que sa révolution autour du soleil est aussi très rapide, et pourtant notre montre qui est la même que celle où nous étions sur terre tourne toujours de la même façon !!! Cela est normal malgré une très grande difficulté de compréhension, car aux endroits où le temps est ralenti, la vision des mouvements sur le monde est forcément accéléré. Sans parler d’horloge atomique, notre montre nous semble donner l’heure de la même façon, car quand nous sommes sur terre, ou quand nous sommes sur la surface d’un trou noir, notre montre trotte de la même façon !!! Tout ceci n’est qu’une apparence et illusion, car justement notre montre ne tourne pas de la même façon où elle se trouve, ce qui fait que l’atome change de structure et de dimension, et donc que cette absorption d’une temporisation de l’atome de césium 133 d’un photon calibré et réémis au bout de 1/9|192|631|770 seconde n’a plus plus la même période ou la même fréquence dans un autre environnement !!! Ce qui veut dire simplement et qui est ÉNORME PHYSIQUEMENT comme conception, c’est simplement que LA SECONDE EST VARIABLE car la matière est VARIABLE !!! Se baser sur l’atome ne veut rien dire, et se baser sur les pulsations qu’un quasar n’est guère mieux, car sur l’environnement de la terre et en chronométrant tel quasar celui-ci aura tel battement, et sur l’environnement ou contexte d’un trou noir, le même quasar donnera une autre cadence !!! Et naturellement ce n’est pas le quasar qui change, mais de l’endroit où on l’observe. Plus nous nous approchons d’un environnement d’un trou noir, plus autour de nous tout s’accélère, et même les objets les plus lointains. Remettre la seconde en cause serait physiquement une très grosse erreur, alors on fait semblant pour dire que la seconde est immuable... Dire que la seconde est variable cela veut aussi dire aussi que le vitesse de la lumière est variable !!! Et pour aller encore plus loin, TOUTES NOS CONSTANTES SONT VARIABLES !!! En réalité on a déterminé la valeur de la seconde en fonction de la temporisation de photon absorbé et réémis par l’atome de césium 133, donnant ainsi une sorte de fréquence ou résonance, mais ce beau césium se trouve sur terre dans des conditions spéciales et non dans un autre référentiel que le notre. Si on devait mesurer la seconde dans des conditions proche d’un trou noir, cette seconde serait forcément différente, car la temporisation de l’absorption d’un photon calibré pour le césium 133 serait forcément différente que dans un contexte particulier sur terre. L’atome n’est donc pas plus fiable pour mesurer le temps, car l’atome change fonction des référentiels utilisés !!! Et pourtant nous avons la preuve de ces changements de comportement de l’atome, car avec ces horloges atomiques embarquées dans l’espace par des engins spéciaux allant à des vitesses conséquentes, aux retours ces horloges ont pris du retard, et ce n’est pas la mécanique des horloges qui à changée pendant le voyage, mais très simplement l’atome !!! Si l’atome change fonction du contexte, cela veut dire aussi que les forces fondamentales changent fonction du contexte. Nous sommes un peu candides sur cette physique quantique, mais cela est une évidence que l’atome et son contexte changent fonction des référentiels utilisés. Si en allant vite ou étant proche de masses très importantes, le temps se dilate et donc passe moins vite, cela veut bien dire que l’atome change et que cette belle valeur de 9|192|631|770 périodes par seconde pour le césium 133, correspondant au temps d’absorption et de relâchement d’un photon calibré disant qu’il vibre, n’est plus du tout la même fréquence, mais que ce nombre de pulsations de plus de 9 milliard se réduit où il y a dilatation u temps. La conclusion est que l’atome n’est pas une valeur sûr, et même l’or, car les phénomènes que l’on voit dans l’espace, et suivant où on se trouve, ne se voit pas de la même façon, et forcément ce n’est pas les phénomènes qui changent, mais obligatoirement notre regard suivant où on se trouve. C’est bien cela la relativité de ce Monsieur Einstein, mais fallait-il comprendre que la matière comme les constantes sont aussi relatives car rien est vrai, car pas de vraie référence !!!
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▬Nous ne comprenons pas les scientifiques et surtout pas ceux de la physique quantique, car essayer de comprendre ce qu’est l’atome et les particules élémentaires, comme encore les particules virtuelles, n’apporte strictement rien à la compréhension de ce qu’est la relativité d’Einstein et la gravitation. Si le temps se déforme, c’est que que l’espace se déforme, et si l’espace se déforme, la matière se déforme, car la matière est bourrée d’espace. Le plus simple des atomes qui est l’atome d’hydrogène se trouvant sur terre, n’est pas le même que celui proche d’un trou noir, et est aussi différent hors de toutes gravitations, comme dans ces bulles de vides sans matière que sont les plus grandes structures de l’Univers. Pourtant le raisonnement est très simple, car si l’espace change l’atome change, et on a la preuve de cette vérité par les horloges atomiques. Il n’y a donc pas UN vide au sens général, mais DES vides différents. Même le vide DANS l’atome ’entre noyau et électrons) est différent de celui à notre échelle sur terre, et le vide dans un noyau atomique sera encore différent !!!
▬Ces histoires de remonter le temps et donc d’aller dans le passé est une vraie fumisterie, et cela n’est bon que pour les films de sciences-fiction, car on ne peut pas remonter le temps, même si certains physiciens disent le contraire. Par contre d’aller dans le futur n’a rien d’extraordinaire, mais on ne peut pas en revenir. Pourquoi dire de telles choses. Et bien simplement que l’on peut réduire la cadence du temps en utilisant des contextes particuliers qui sont d’autres référentiels, mais on ne sait absolument pas accélérer le temps. Le temps le plus rapide est celui hors de toutes gravitation et sans mouvement. C’est bien ce temps physique et utile pour les calculs de physique que ce Mr Einstein nous parle, mais cette référence absolue de temps nous est complètement inaccessible. On a donc une seconde référence sur terre qui n’est liée qu’a notre environnement, et c’est avec cette fausse référence que nous faisons des calculs de durée aussi bien dans les deux infinis. Pour le redire différemment, la résonance du césium 133 est différente suivant où il se trouve, et donc sa fréquence change fonction du référentiel utilisé. Nous savons réduire cette fréquence par des vols dans l’espace et par une vitesse assez élevée, et c’est bien ce que nous constatons, quand ces horloges atomiques reviennent sur terre, car elles ont pris du retard. Ce retard n’est autre que la résonnante de l’atome s’est trouvée réduite. En technologie plus avancée que la notre, les horloges atomiques allant presque à la vitesse de la lumière comme les particules que l’on fait tournée dans ces accélérateurs, on s’apercevrait que le temps se réduirait énormément et ne serait plus des micros-secondes de décalage, mis des durées beaucoup plus longues...
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▬Pour résumer l’atome ne vibre pas ou n’oscille pas, mais on le fait vibrer. On a compris que d’envoyer des photons calibrés sur l’atome, permet que l’atome absorbe ces photons, et c’est la durée de temporisation où l’atome garde et relâche le ou les photons qui sert à faire vibrer l’atome régulièrement et donc de se servir de cette résonance régulière pour faite des horloges utilisant l’atome. Nous nous sommes embarqués à voir plus de vidéos sur l’atome et les électrons, mais la complexité de ces sciences, ne change en rien nos raisonnements simplistes. Le temps n’est pas un objet mais un mécanisme, et on pourrait même dire des mécanismes, dans la mesure où l’on trouve des fréquences très élevées pour mesurer le temps. Nous constatons que la seconde évaluée par l’atome n’est pas plus vraie que les fréquences régulières des quasars, car il y a toujours une relativité des référentiels où l’on perçoit et où on calcule les fréquences. A très grande échelle, le cosmos semble très lent presque fixe, car on ne voit rien bougé, et si nous étions au centre de l’une de ces bulles de vide sans matière, nous constaterions que les mouvements des objets lointains seraient encore plus ralentit, et la raison en est simple, c’est que notre temps propre, lui serait accéléré, et ce temps serait celui dont Einstein parle. Donc un vrai temps sans déformation. La plus grande déformation du temps et donc de l’espace, se trouve soit en vitesse très grande où notre temps se ralentit, ou encore quand on est proche très proche d’objets massifs comme les trous noirs. Dans ce deuxième cas on nous dit que le temps se dilate, mais en réalité ce n’est pas le temps qui se dilate, mais les fréquences de toutes entités qui se réduisent. C’est à partir de cette réduction de fréquence que nous considérons alors comme le vrai temps pour nous, et devient donc une référence, et nos regards qui se portent sur les objets lointains où il n’y a pas cette réduction de fréquence, nous voyons alors des accélérés portés par les objets. Quand on se trouve où le temps est freiné ou ralentit, forcement ce que l’on voit autour parait et est accéléré. Donc d’aller dans le futur, c’est simplement se mettre dans un référentiel où le temps est freiné pendant quelques temps puis revenir où le temps est dit normal. Forcément comme notre temps à été freiné pendant une durée, ce que nous constatons c’est que l’endroit qui est dit normal, à forcément vieillit plus vite que où nous étions dans un endroit où le temps était freiné. Il n’y a aucun paradoxe dans cette vision, mais c’est seulement la non compréhension que le temps ne s’écoule pas de la même façon suivant des référentiels différents. D’ailleurs les paradoxes sont souvent des exposés qui sont faux au niveau de la compréhension, et qui cachent des vérités que l’on ne connaît pas. Quand on admet que le temps peut ne pas s’écouler de la même façon suivants des contextes, alors les paradoxes s’envolent.
▬Nous te remercions beaucoup de tes retours de message, malgré que nous ayons beaucoup de difficultés sur ce tutoiement que tu nous proposes. Nous constatons qu’un certain Alain te vouvoie dans ces messages, et ce dernier est justement l’un des premiers à t’envoyer de la correspondance depuis longtemps...
▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

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