A lire, de Jacques Tassin : « A quoi pensent les plantes ? »
On a longtemps vu la plante comme un être passif et immobile, spécialisé dans la fascinante alchimie de la photosynthèse. Les progrès de la biologie végétale donnent aujourd’hui de la plante une image radicalement nouvelle : les plantes ont de multiples façons de percevoir leur environnement. Mieux : elles se parlent et communiquent tous azimuts avec leurs congénères par voie chimique, s’avertissant d’un danger potentiel, mais aussi avec les animaux qui les pollinisent ou vivent en symbiose avec elles.
A lire, de Jacques Tassin : « A quoi pensent les plantes ? »
On a longtemps vu la plante comme un être passif et immobile, spécialisé dans la fascinante alchimie de la photosynthèse. Les progrès de la biologie végétale donnent aujourd’hui de la plante une image radicalement nouvelle : les plantes ont de multiples façons de percevoir leur environnement. Mieux : elles se parlent et communiquent tous azimuts avec leurs congénères par voie chimique, s’avertissant d’un danger potentiel, mais aussi avec les animaux qui les pollinisent ou vivent en symbiose avec elles.