Le 20 février, le Maghreb et le monde arabe étaient plus que jamais dans la rue...
21 février 2011, 07:11, par Charles
Nous constatons dans le monde qu’il y a d’un côté des gens très nombreux qui ont tout juste les moyens d’assurer leur survie avec quelques euros par jour d’un travail intense et de l’autre un nombre très petit de gens qui accumulent par milliards le fruit du travail des autres. C’est une répartition injuste des richesses produites. Dans ces conditions je pense que les révoltes, qui sont sauvagement réprimées au lieu d’être prises en compte sans que cela ne souléve de critique, sont des indices que le monde ne tourne pas rond et qu’il a besoin de plus de démocratie.
Nous constatons dans le monde qu’il y a d’un côté des gens très nombreux qui ont tout juste les moyens d’assurer leur survie avec quelques euros par jour d’un travail intense et de l’autre un nombre très petit de gens qui accumulent par milliards le fruit du travail des autres. C’est une répartition injuste des richesses produites. Dans ces conditions je pense que les révoltes, qui sont sauvagement réprimées au lieu d’être prises en compte sans que cela ne souléve de critique, sont des indices que le monde ne tourne pas rond et qu’il a besoin de plus de démocratie.