Pour Freud, le cerveau est un univers des conflits, des contradictions. Les sentiments, les fantasmes, les situations entraînent des réactions opposées dues à la peur, au dégoût, au rejet, à la haine. Les contraires ne se suppriment pas définitivement, mais se masquent, se refoulent, se bloquent. Par exemple, le processus d’oubli n’est pas un simple effacement : il est une inhibition, une négation, c’est-à-dire un processus négatif qui a sa propre négation. L’effacement serait définitif et ne pourrait jamais revenir déranger les victimes de névroses. La mémoire inconsciente est la preuve que ce qui n’est pas conscient peut rester présent dans le cerveau.
Pour Freud, le cerveau est un univers des conflits, des contradictions. Les sentiments, les fantasmes, les situations entraînent des réactions opposées dues à la peur, au dégoût, au rejet, à la haine. Les contraires ne se suppriment pas définitivement, mais se masquent, se refoulent, se bloquent. Par exemple, le processus d’oubli n’est pas un simple effacement : il est une inhibition, une négation, c’est-à-dire un processus négatif qui a sa propre négation. L’effacement serait définitif et ne pourrait jamais revenir déranger les victimes de névroses. La mémoire inconsciente est la preuve que ce qui n’est pas conscient peut rester présent dans le cerveau.