Voltaire écrivait dans "Femmes, soyez soumises à vos maris" :
"Quoi ! Parce qu’un homme a le menton couvert d’un vilain poil rude, qu’il est obligé de tondre de fort près, il faudra que je lui obéisse très humblement !" s’exclame une femme en s’adressant à un abbé.
Voltaire écrivait dans "Femmes, soyez soumises à vos maris" :
"Quoi ! Parce qu’un homme a le menton couvert d’un vilain poil rude, qu’il est obligé de tondre de fort près, il faudra que je lui obéisse très humblement !" s’exclame une femme en s’adressant à un abbé.