Nelson Jobin, ministre brésilien de la Défense, de retour au Brésil, a évoqué « le risque d’émeutes ».
Ce ne sont pas les pillages des « Carrefour » de Carrefour, localité où résidait Pauline Bonaparte, qui a été, comme Jamel, très endommagée par le séisme, qui motivent les inquiétudes du chef de la protection civile italienne et l’envoi massif de renforts militaires en Haïti. C’est bien la perspective d’une insurrection générale, dans un pays désormais sans infrastructure étatique autre que celle que tentent de constituer les grandes nations et l’Onu, qui est redoutée.
Le passé, depuis la mise au pouvoir du « père » Aristide par les États-Unis, et sans doute le ressentiment créé par une présence massive d’ONG n’ayant que très peu apporté aux populations par rapport à ce qu’elles attendaient ou constataient, laisse entrevoir que cette éventualité de révolte généralisée pourrait avoir quelques fondements.
Nelson Jobin, ministre brésilien de la Défense, de retour au Brésil, a évoqué « le risque d’émeutes ».
Ce ne sont pas les pillages des « Carrefour » de Carrefour, localité où résidait Pauline Bonaparte, qui a été, comme Jamel, très endommagée par le séisme, qui motivent les inquiétudes du chef de la protection civile italienne et l’envoi massif de renforts militaires en Haïti. C’est bien la perspective d’une insurrection générale, dans un pays désormais sans infrastructure étatique autre que celle que tentent de constituer les grandes nations et l’Onu, qui est redoutée.
Le passé, depuis la mise au pouvoir du « père » Aristide par les États-Unis, et sans doute le ressentiment créé par une présence massive d’ONG n’ayant que très peu apporté aux populations par rapport à ce qu’elles attendaient ou constataient, laisse entrevoir que cette éventualité de révolte généralisée pourrait avoir quelques fondements.
http://www.come4news.com/haiti-le-pourquoi-d-un-tel-deploiement-militaire-640113