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39- Quelle est la structure de la matière et du vide - ou comment la matière est virtuelle et le virtuel est matière

31 octobre 2019, 14:15, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

JFP¦¦31112019¦¦Après des vacances poussées mais très bénéfiques, voici nos réflexions sur ce grand article conseill馦
Comme il y a beaucoup de réflexions et de questionnements sur cet article, ceci viendra dans un autre temps, nous avons donc plongé dans ce forum aux messages qui est surprenant en quantité, car 169 messages de dialogues lecteurs et de vous même, et donc la quantité des messages interpelle forcément. Nous constatons que votre site est parfait pour faire valoir la promotion d’un produit, car dans ces messages de ce même article on peut compter près de 200 fois le mot PROTOMATIÈRE qu’il faut considérer comme étant proto-matière, et un certain V... y est pour quelque chose, car il intervient dans ces messages presque pour la moitié de ceux-ci. Nous pouvons aussi noter que pour une grande période de plusieurs mois, une bonne douzaine de messages d’affilés et édités de ce même V..., sans aucune intervention de votre part, et ceci d’après les messages de cet article, et nous trouvons cela assez surprenant que vous n’ayez pas répondu au bout de cette quantité de messages contigus d’une même personne ... Le début de l’article commence par une citation de Étienne Klein, qui est de la vraie poésie, mais plus délicat en physique, car à partir d’un seul photon frôlant l’atome on en créer deux. On pourrait imaginer que les deux photons générés fassent de même, et la profusion et production de photons serait sans fin pour éclairer enfin ce ciel noir de nos nuits blanches d’interrogations.
JFP¦¦31112019¦¦Passons directement aux messages de cet article qui sont très nombreux, car si le corps de l’article est super intéressant, les messages de forum de ce même article le sont aussi. Les dates des premiers messages de MOSHE sont antérieures à la date de création de l’article, ce qui peut être choquant et incompréhensif. Mais cela n’est pas tout, car les textes de ces premiers messages se retrouvent dans le corps même de l’article. Nous voyons comme solution possible de ce fait, qu’il y a pu avoir un premier jet de cet article où il y eu correspondances, et qu’une nouvelle version soit éditée reportant du coup les messages antérieurs en date à la publication de ce nouvel article réarrangé en même temps qu’un report d’une partie de certains message de MOSHE.... Si il est dit que rien ne se perd tout se transforme, et bien nous pouvons dire aussi que rien n’est inexplicable car tout s’explique. Nous ne faisons pas mauvaise critique de ces interrogations, mais nous essayons de comprendre pourquoi ces états de faits qui sembles assez curieux.
▬Message 30 juillet 2009 MOSHE¦¦
[LE VIRTUEL DONNE UNE INTERPRÉTATION DE L’EFFET CASIMIR
LE VIRTUEL DONNE UNE INTERPRÉTATION DU PRINCIPE DE PAULI
LE VIRTUEL DONNE UNE INTERPRÉTATION DE L’EFFET UNRUH].
▬Si le virtuel permet de mieux comprendre ces effets et principes, ce même virtuel peut être remplacé par une autre façon de voir les choses. D’avoir des particules virtuelles prêtent à l’emploi pour être transformées directement en vraies particules réelles par le biais de ce boson de Higgs qui saute d’une particule à une autre, nous semble une facilité de conception. Nous pensons que ces particules virtuelles sont nées quand est sorti la théorie des champs quantiques, mais que ces mêmes particules virtuelles se sont complexifiées et évoluées pour en faire des ensembles et assemblages plus complexes qui sont des pseudo-particules élémentaires virtuelles éphémères. Nous pensons également que les particules virtuelles initiales n’étaient que couple ou paire de charges opposées, sans engendrer pour autant des électrons et des quarks virtuels plus complexes. Nous n’avons rien contre ce virtuel, mais on ne sait pas où ce virtuel commence et où il se termine. Si au départ c’est le couple ou paire de charge opposée formant un ensemble très simple, cela est devenu très compliqué en allant jusqu’aux neutrons et protons virtuels. Ce modèle du virtuel, est un bon modèle car il tient encore, mais il n’en reste pas moins que cela ne sont que des suppositions sans preuve et que l’on peut très bien remplacer ce modèle et le voir autrement. On peut très bien garder le virtuel initial de couple de charges opposées qui est la base, et ne pas utiliser sa complexification, par des particules virtuelles éphémères prêtent à l’emploi pour en faire des électrons et quarks réels. Difficile de voir l’évolution historique de ces particules virtuelles. Nous ne connaissons pas la chronologie de l’évolution de ces particules virtuelles, et quand on recherche sur internet pas plus d’historique...
▬Message 9 juin 2011 Vous dites¦¦[Selon moi, la matière est virtuelle ce qui signifie que la vide est la seule matière.]. On peut se poser des questions sur ce vide et ces particules virtuelles, car si le champ de Higgs est absent, et bien virtuel ou pas la matière est absente d’après vos concepts. On peut même dire qu’avec moins de Higgs moins de matière, et avec plus de Higgs plus de matière, car avec cette densité énorme de particules virtuelles... C’est donc le Higgs qui conditionne notre réalité, indépendamment des mécanismes où on ne s’étendra pas... On peut aussi se poser la question si ce champ de Higgs est vraiment dans tout l’espace, et encore que veut bien dire la masse de l’Univers Ɂ Comme vous considérez que les particules virtuelles sont dans tout l’espace de l’Univers, pour éviter que ce vide créer de la matière où il n’y en a pas, il faut forcément retirer ce Higgs... Ou alors c’est l’inverse, c’est à dire que dans certains volumes d’espace, ces particules virtuelles y figurent donnant du même coup de la matière avec ce Higgs qui lui est bien dans tout l’espace... On ne peut pas conjuguer les 2 notions en même temps et dans tout l’espace ‼‼ Nous allons dans votre logique, mais nous ne croyons ni au Higgs ni aux virtuelles, car nous avons un autre modèle...
▬ Message 6 juin 2011 Max¦¦[Le temps est mécanique avec la vitesse qui est égal à la distance divisée par le temps. Le temps se dilate et se contracte .]. Par rapport au référentiel de base mesurant le temps ; c’est à dire sans gravitation quelconque et étant inerte, le temps peut se dilater suivant des contextes particuliers, mais JAMAIS se contracter. Ainsi jouant sur des battements de temps différents, on peut aller dans le futur. Même si on pouvait contracter le temps, on ne pourrait jamais aller dans le passé. Le temps est positif mais jamais négatif. Une vitesse négative, comme une distance négative n’existent pas plus, car ces notions n’ont pas de direction comme le temps n’a pas plus de direction. Mesurer la longueur de A-B ou de B-A est la même chose. Mesurer la vitesse de A-B ou de B-A est la même chose.
▬Message 13 juin 2011 Vous dites¦¦[L’idée astucieuse de de Broglie consiste à explorer la possibilité que le corpuscule et l’onde ont tous deux une réalité physique.]. Si on prend un gaz et que l’on comprime ce gaz, il devient liquide et il peut être considéré comme un corpuscule, si au contraire on donne plus de volume à ce gaz, il peut alors être considéré comme une onde, car il envahit plus l’espace. Il n’y a pas deux objets, mais le même objet vu dans des états différents. Pour nous l’électron est exactement la même chose, car quand tous ces éléments sont comprimés, il devient corpuscule, et quand tous ces éléments sont dispersés,on peut le considérer comme une onde. Sachant qu’il puisse y avoir des états intermédiaires, donnant les deux notions de corpuscule et d’onde, et là on pourrait alors parler de dualité. L’onde stationnaire, qui est pour nous une aberration physique, n’est autre qu’un même objet s’étalant dans l’espace. On comprend alors qu’un électron passant pas les fentes de Young, soit forcément dans un état ou forme de gaz s’étalant dans l’espace, et pouvant passer par les deux fentes en même temps, et que sa reconstitution après passage donne deux géométries ayant des interférences comme un résonnement, mais faisant toujours partie d’un même élément.
▬Message 10 septembre MOSHE¦¦[L’échange d’identité entre les électrons ne signifie pas un simple changement de position, mais constitue un processus complexe au cours duquel l’électron « A » s’interpénètre avec l’électron « B » pour produire un « mélange » composé, disons, de 60% de « A » et de 40% de « B » – et vice versa.].
▬Voilà quelque chose de fort intéressant allant dans le sens de nos concepts où un électron est un objet s’étalant dans l’espace considéré comme une sorte de gaz, et que deux électrons peuvent très bien se mélanger, s’interpénétrer et même échanger leur substance. L’électron corpuscule n’existe QUE dans les expériences, c’est a dire quand on le traque où on l’oblige à s’écraser pour le visualiser, mais ce dernier n’est en réalité JAMAIS dans cet état de corpuscule, mais toujours étalé dans l’espace comme un essaim d’abeilles éclaté, et donc l’état du corpuscule électron, ne passera jamais au travers de l’une des fentes de Young. Si deux essaims éclatés d’abeilles sont proche, rien n’empêche que des abeilles changent de colonie et donc d’essaim. L’abeille n’a pas une identité lui-disant qu’elle appartient à tel essaim plutôt qu’un autre, car elle peut se retrouver dans un autre essaim. C’est la quantité d’abeilles qui compte pour former un essaim et donc un électron, et les abeilles ne sont pas liées entre elles, mais justement peuvent être inter-changées. Ce qui veut dire qu’il y a des échanges de parties d’électron entre eux. Nous aimons ces représentations imagées qui semble plus simple que des explications complexes. Un groupe d’essaims d’abeilles peut très bien se supporter et se mélanger constamment, car c’est la quantité totale des abeilles de ces essaims qui compte et qui est important, et où cette notion d’essaim disparaît même, comme si l’électron se fondait sur une partie de l’espace. Quand une partie de cet ensemble d’abeilles doit être exclus, alors la notion d’essaim revient en force, car on ne peut extraire que par paquet (quanta) d’abeilles correspondant à un essaim et donc à un électron. Ces couches électronique de l’atome sont en fait des couches d’abeilles, mais qui ne sont pas forcément disposées uniformément. On comprend mieux alors ce que veut dire ce terme de couche électronique si on y met des abeilles, d’autant qu’une couche à une certaine épaisseur ne se mélangeant pas avec d’autres couches. Cette image ne correspond plus avec des électrons corpuscule orbitant autour du noyau atomique, car ces électrons s’étalent autour du noyau, et va donc dans le sens de la réflexion du message de MOSHE, où en règle générale l’électron n’est jamais un corpuscule mais une entité pouvant se déformer très facilement et de plus pouvant être inter-changé en partie très facilement. Le dur de la matière de l’électron n’est pas sa vraie constitution, mais ces charges, malgré qu’il soit noté que du signe MOINS qui n’est qu’une apparence.
▬Message 2 octobre 2009 MOSHE¦¦[La physique quantique montre que l’infiniment petit en termes de temps n’existe pas davantage qu’en termes de masse ou d’espace. Une des conséquence de la physique des quanta est que tout est saut ; le mouvement n’ayant rien de différent sur ce plan du changement.] (...).
▬Nous¦¦ Ce bloc de texte complet du message est repris par l’article lui-même. Dans ces phrases il y a des notions très importantes, mais il y a aussi des contradictions, car on nous dit au début que temps, masse, mouvement et espace n’existent pas au niveau quantique, puis on nous dit plus loin, un temps par sauts, et même qu’un temps se déplace dans les deux sens ‼‼ On nous parle encore de temps non continue pour le phénomène de conservation de masse... et encore plus loin un temps par sauts. C’est curieux car on élimine une notion, mais on s’en sert ‼‼ Pour nous le temps n’est pas un objet et donc ne peut pas se déplacer, de plus de dire dans les deux sens est difficile à comprendre, car parle t-on du passé et du futur Ɂ Nous pouvons aller dans le futur, et si nous pouvons le faire les particules de tous bords aussi, mais on ne peux pas revenir de ce futur ‼‼ Le temps n’est pas seulement des mécanismes à partir de particules réelles ou même virtuelles, le temps déformé est aussi une vraie réalité et cette notion de ralentissement de l’activité des particules réelles comme des virtuelles est une réalité que nous n’abordons jamais, car quand on décrit le petit, apparemment on oublie ou on se moque des contextes où se trouve ce petit. Donc l’agitation de ces particules virtuelles dont on nous parle souvent peut être vu au ralentit, quitte à ne plus sauter du tout, si le temps est calculé à partir des résonances d’atomes ou encore de fréquences de ces sauts de particules virtuelles. Et bien SI le temps ou sa mesure, existe au niveau des particules réelles comme encore au niveau des particules virtuelles, car des contextes particuliers permettent de ralentir le temps au niveau de toutes les particules, et les virtuelles ne font pas exception. Plus nous allons vite et plus l’agitation de ces particules virtuelles se réduise. Plus nous nous approchons de masses très importantes comme les trous noirs, et bien là encore cette agitation du virtuel diminue. Donc la conclusion est que LE TEMPS FAIT AUSSI PARTIE DE CE MONDE VIRTUEL que nous ne pouvons pas déceler. Nous ne comprenons pas cette exclusion de l’espace, au niveau quantique, car si il n’y a plus d’espace, il n’y a alors plus de saut, car il faut bien un volume pour que des sauts puissent se faire, à moins que ce terme d’espace soit pour définir autre chose qu’un volume... Pour nous un saut est un mouvement réel et physique, mais ce mouvement est particulier, et les sauts dont on parle sont des sauts de propriétés qui sont encore plus particuliers, car une propriété qui saute d’un endroit à un autre nous parait non physique (C’est sûrement un raccourcis)... Comme on a introduit ce terme de masse dans ces explications où la quantique refuse que cela soit une propriété intrinsèque des particules réelles, et bien le reste du texte n’en parle pas plus.. Dire que c’est la propriété de masse qui se maintient est forcément un raccourci, car normalement c’est ce boson de Higgs qui saute d’une particule à une autre, rendant l’ancienne particule réelle en virtuelle, et la nouvelle particule virtuelle en réelle. Et donc que la masse est toujours conservée, par le biais des sauts que peuvent faire ces bosons de Higgs, mais dans ces explications, il n’y a jamais de mécanismes réellement défini, mais des explications générales que l’on retrouve sur d’autres sites. D’ailleurs en recherchant via Wikipédia, ces mécanismes de ces bosons de Higgs ne sont guère plus donnés et libre à chacun de les créer lui-même. L’information sur la densité des particules virtuelles reflétant la particule réelle entourant celle-ci n’est pas plus donnée. On peut donc supposer qu’une seule particule virtuelle suffise comme une quantité énorme. Par ces sauts via le Higgs et donc par ces déplacements chaotiques, on peut se demander jusqu’à quel point il peut y avoir un déplacement cumulé dans une direction donnée par ces sauts, donnant des positions complément différentes de celle d’un départ. Si le chaos permet de rester dans la même proportion d’espace, ce même chaos permet aussi de s’en éloigner, et on peut se demander jusqu’à quelle distance ces bosons restent dans une même portion d’espace, et quelles seraient les raisons de portions réduites où ces bosons effectuent ces sauts. Et puis dans ces concepts de sauts, des électrons pourraient sortir de leur couche pour en atteindre d’autres, et donc que cela devient difficile à concevoir, à moins que la quantité de virtuel autour du réel soit très limité. Mais alors comment le boson sait-il qu’il faille rester dans une zone d’espace et ne pas en sortir Ɂ Le fait de donner des explications générales sans les mécanismes, devient alors une interprétation, mais ne donne encore moins les accidents possibles... Même si on comprend et que l’on voit très bien ces images de ces mouvements qui sont des sauts, on se demande pourquoi ce boson de Higgs resterait stationnaire dans une zone d’espace donnée. Comme il n’y a pas d’explication sur les mécanismes de sauts, il est normal de se poser des questions, allant du coup à des aberrations.
▬Balayer la masse de ces particules réelles ou virtuelles en général, pourquoi pas, mais bayer le temps comme l’espace devient totalement incohérent, car un espace est un volume de vide de vide et donc du néant, mais cet espace est nécessaire pour l’évolution de ces sauts de ces bosons de Higgs. Même le temps est une obligation d’exister, car il est démontrable par le ralentissement des horloges atomiques, car si elles ont ralentis dans des contexte spéciaux, et bien matière comme virtuel ont aussi ralentis. Nous ne voyons pas d’autres explications. Observer le virtuel si cela était possible et dans un contexte très spécial proche d’un trou noir, serait assez rigolo, car presque tout serait au ralenti ainsi que les fréquences. Les bosons de Higgs dormiraient peut-être accrochés à leur particule réelles et se réveilleraient de temps en temps. On peut même se demander si cette notion de masse serait la même notion que nos objets habituels, ainsi que les étoiles.

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