Après la mort de Bongo au Gabon : la fin du dictateur mais pas la fin de la dictature
19 mars 2016, 17:41
À la fin des années 2000, sept Congolais sur dix vivent sous le seuil de pauvreté, dans ce pays riche en ressources et où une élite a confisqué le pouvoir.
Les émeutes qui éclatent à Pointe-Noire n’y changent rien, il est réélu aussi confortablement que la fois précédente à la présidentielle de 2009, avec 78 % des voix malgré douze autres candidats en campagne, seulement là pour créer l’illusion d’une pluralité.
Sept ans plus tard, Denis Sassou Nguesso ne compte pas s’arrêter là. Dès 2015, il décide de faire modifier la constitution afin de pouvoir se présenter une troisième fois, alors que son âge excède désormais les 70 ans.
Denis Sassou Nguesso se voit président à vie mais ce sont les peuples qui décident en fin de compte...
À la fin des années 2000, sept Congolais sur dix vivent sous le seuil de pauvreté, dans ce pays riche en ressources et où une élite a confisqué le pouvoir.
Les émeutes qui éclatent à Pointe-Noire n’y changent rien, il est réélu aussi confortablement que la fois précédente à la présidentielle de 2009, avec 78 % des voix malgré douze autres candidats en campagne, seulement là pour créer l’illusion d’une pluralité.
Sept ans plus tard, Denis Sassou Nguesso ne compte pas s’arrêter là. Dès 2015, il décide de faire modifier la constitution afin de pouvoir se présenter une troisième fois, alors que son âge excède désormais les 70 ans.
Denis Sassou Nguesso se voit président à vie mais ce sont les peuples qui décident en fin de compte...