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Débat ouvert sur la signification de la crise mondiale systémique

12 mai 2009, 10:00

la beauté d’un texte ou d’un ché d’oeuvre artistique ne reside pas seulment sur ce qu’on voi mais aussi sur ce qu’on ne voie pas sur ce qu’on peut en dire et ce qu’on peut en pensé dans le font et la forme d’autant plus que font et forme sont strictement lié.vive la joie de la pensé dans la passion .je plein ce qui ne son pas passionné par des pensés révolutionnaire communiste prolétarien . .6- L’économie n’est pas et n’a jamais été seulement de l’économie. Elle est une politique de classes dirigeantes contre la classe exploitée. Et aujourd’hui cette politique signifie inévitablement un recul sans précédent, social, économique et politique. Il n’y a pas de "solution économique". Il n’y a pas de solution en dehors de la révolution prolétairenne !

Le point de vue de Matière et révolution

1- Parler de crise n’est pas une avancée de la compréhension de la situation du monde ni de ses perspectives. En effet, ce que fait le système mondial depuis nombre d’années, c’est au contraire d’empêcher la crise cyclique par des interventions financières, politiques et militaires, des USA et des autres Etats impérialistes. La crise aurait dû éclater à l’échelle mondiale au moins depuis 2000. La guerre qui a suivi le 11 septembre a permis d’y pallier.

2- Pour éviter les crises cycliques, le système a pourvu le grand capital de revenus de plus en plus fictifs. C’est la source de la situation dans laquelle s’est enferré le système en titrisant des dettes. Le capital ne peut pas supporter de ne plus avoir des revenus de son capital. Cette méthode lui en a donné malgré le recul économique créant une reprise artificielle, dont la seule reprise réelle était celle de la course aux armements.

3- En intervenant massivement face à la crise de 2007-2009, avec des injections invraisemblables de fonds publics, les Etats, à commencer par les USA, continuent cette politique consistant à fournir des profits au capital, même si ces profits n’ont plsu rien de commun avec des réalités économiques : échanges, crédit, investissements, ventes et production. Alors que la production et les investissements s’effondrent produisant un chômage massif, les Etats, à coups de dons massifs, provoquent de nouveaux profits fictifs qui redressent momentanément les bourses. Mais le caractère fictif de ces profits n’en est qu’accru. Il est évident que les lendemains seront des effondrements des monnaies à commencer par le dollar. Et encore cela n’aura éviter durablement ni l’effondrement des banques ni celui des bourses. L’effondrement de la confiance n’en aura été que retardé.

4- La crise n’est donc même pas une reproduction de la crise de 1929. le capitalisme a atteint un niveau beaucoup plus élevé, de moyens, de richesses, de mondialisation et, en même temps, l’impasse où parvient le système est bien plus bloquée qu’en 1929.

5- Toutes les propositions de changement radical du fonctionnement du système ne sont que poudre aux yeux. le seul changement que le système va produire n’est ni sa moralisation, ni la fin de la financiarisation mais l’attaque massive, sociale et politique contre la classe ouvrière et contre les peuples. La bourgeoisie mondiale va se servir du répit que lui donnent les interventions financières des Etats pour s’y préparer.

6- L’économie n’est pas et n’a jamais été seulement de l’économie. Elle est une politique de classes dirigeantes contre la classe exploitée. Et aujourd’hui cette politique signifie inévitablement un recul sans précédent, social, économique et politique. Il n’y a pas de "solution économique". Il n’y a pas de solution en dehors de la révolution prolétairenne !

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