Peut-on passer continûment de l’inactivité à l’activité, pour un neurone émettant une saccade, pour une particule émettant un photon lumineux, pour une plaque terrestre entrant en mouvement, pour une société changeant de bases sociales, pour un cerveau évoquant une image, pour un être vivant en train de grandir, pour une espèce en train de changer qualitativement, par exemple en "inventant" la naissance dans l’oeuf ou la colonne vertébrale ? La réponse est non. C’est cela que nous disons quand nous choisissons d’affirmer que la dynamique qui conduit le monde est discontinues. Cela ne veut pas dire qu’il n’y aurait jamais des cas où ces discontinuités seraient suffisamment régulières pour permettre d’écrire une loi apparemment continue. Mais cette continuité n’est pas alors une description du réel, seulement une valeur moyenne de phénomènes que l’on fait semblant d’additionner.
Peut-on passer continûment de l’inactivité à l’activité, pour un neurone émettant une saccade, pour une particule émettant un photon lumineux, pour une plaque terrestre entrant en mouvement, pour une société changeant de bases sociales, pour un cerveau évoquant une image, pour un être vivant en train de grandir, pour une espèce en train de changer qualitativement, par exemple en "inventant" la naissance dans l’oeuf ou la colonne vertébrale ? La réponse est non. C’est cela que nous disons quand nous choisissons d’affirmer que la dynamique qui conduit le monde est discontinues. Cela ne veut pas dire qu’il n’y aurait jamais des cas où ces discontinuités seraient suffisamment régulières pour permettre d’écrire une loi apparemment continue. Mais cette continuité n’est pas alors une description du réel, seulement une valeur moyenne de phénomènes que l’on fait semblant d’additionner.