Contribution au débat sur la philosophie dialectique du mode de formation et de transformation de la matière, de la vie, de l’homme et de la société.
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Les traités de Peinture
Chronologie de l’histoire de la peinture
Histoire de la peinture
Georgio Vasari – La vie des peintres italiens
Ecrits d’Eugène Delacroix
Ingres – Sa correspondance
Léonard de Vinci - Traité élémentaire de la peinture
Léonard de Vinci – Traité de la perspective linéaire
Paul Signac - D’Eugène Delacroix au néo-impressionnisme
Goethe - Traité des couleurs
Charles Baudelaire - Peintures murales d’Eugène Delacroix à Saint-Sulpice
Denis Diderot – (...)
Ce roman de science-fiction satirique a été publié en russe à Paris en 1920, puis en Russie soviétique. Mais la publication du livre est interdite en 1923 avec la montée du stalinisme. L’État unique décrit dans le roman est un État totalitaire qui prétend régir toutes les activités humaines (décrites avec précision dans la Table des heures) et faire le bonheur des hommes au détriment de leurs libertés individuelles. Les dénominations chiffrées des personnages (une lettre et deux ou trois (...)
Sur Benjamin Péret
« Je ne mange pas de ce pain là », Benjamin Péret, 1936
POUR QUE M. THIERS NE CRÈVE PAS TOUT A FAIT
Ventre de merde pieds de cochon
tête vénéneuse
C’est moi Monsieur Thiers
J’ai libéré le territoire
planté des oignons à Versailles
et peigné Paris à coups de mitrailleuse
Grâce à moi ON a pu mettre
du sang dans SON vin
Ca vaut mieux que de l’eau
et ça coûte moins cher
Les perles de ma femme sont des yeux de fédérés
et mes couilles de papier (...)
Jean Malaquais (1908-1998)
Le nommé Louis Aragon ou le patriote professionnel L’intelligence servile
février 1947
Il est triste que souvent, pour être bon patriote, on soit l’ennemi du reste des hommes. (Voltaire)
Le goût de l’âcre fruit qu’on appelle « patriote » — qu’il soit d’ici ou de là-bas ou d’ailleurs me vaut la gingivite. Acre et vert fruit en effet qui fait profession d’aimer « son » pays, et par voie de conséquence n’aime pas le vôtre. Acre et vert et « ratatiné » fruit (...)
Victor Hugo, dans « L’année terrible » (écrit en 1872, suite à la Commune de Paris)
« Procès à la révolution
« Lorsque vous traduisez, juges, à votre barre,
La Révolution, qui fut dure et barbare
Et féroce à ce point de chasser les hiboux ;
Qui, sans respect, fakirs, derviches, marabouts,
Molesta tous les gens d’église, et mit en fuite,
Rien qu’en les regardant, le prêtre et le jésuite,
La colère vous prend.
Oui, c’est vrai, désormais
L’homme-roi, l’homme-dieu, (...)
« S’il est minuit dans le siècle » de Victor Serge :
« (…) En six semaines, nous avons bien eu trois cents arrestations à Moscou, songes-y. Tous des hommes de ma génération, des militants de la guerre civile, des opposants de 26-27, qui tous s’étaient rangés pour avoir la paix…
Le surlendemain, on l’arrêta. Tout bonnement dans la rue, avant l’arrêt du tramway. Un type surgit, sur le trottoir à côté de lui, le rejoignant de biais… Camarade Kostrov, je vous prie de m’accompagner… (...)
« Permettez moi cependant de jeter un regard sur notre mission historique, non seulement avec les yeux d’un révolutionnaire prolétarien, mais avec les yeux de l’artiste que je suis par profession. Je n’ai jamais séparé ces deux sphères de mon activité. Mon pinceau ne m’a jamais servi de jouet pour ma distraction personnelle ou pour la distraction des classes possédantes. Je me suis toujours efforcé de peindre les souffrances, les espoirs et la lutte des classes travailleuses, car c’est (...)
Avez-vous lu Tchinguiz Aïtmatov ?
Scaffold ou arrêt Bourane
Djamilia (1958) « Djamilia était vraiment très belle. Élancée, bien faite avec des cheveux raides tombant droit, de lourdes nattes drues, elle tortillait habilement son foulard blanc, le faisant descendre sur le front un rien de biais, et cela lui allait fort bien et mettait joliment en valeur la peau bronzée de son visage lisse. Quand Djamilia riait, ses yeux d’un noir tirant sur le bleu, en forme d’amande, (...)
Mozart, ce radical !!!
Le "Don Giovanni" de Mozart, marqué par la philosophie des lumières, s’exclame six fois "viva la liberta !" tout comme Beethoven est un fan de ... la révolution française.
La flûte enchantée :
« Alors qu’un nègre passe pour affreux,
N’ai-je pas aussi un cœur ?
Ne suis-je pas fait de chair et de sang ? »
« Nous vivons en ce monde pour nous efforcer d’apprendre toujours, pour nous éclairer les uns les autres au moyen d’échanges d’idées, et pour nous (...)
Qui était Beethoven ?
« Les compositeurs ne pleurent pas. Les compositeurs sont des êtres de feu. »
« Je veux saisir le destin à la gorge »
« O vous qui pensez que je suis un être haineux, obstiné, misanthrope, ou qui me faites passer pour tel, combien vous êtes injustes ! Vous ignorez la raison secrète de ce qui vous paraît ainsi. Dès l’enfance, mon cœur, mon esprit inclinaient à ce sentiment délicat : la bienveillance. J’étais toujours disposé à accomplir de grandes actions ; mais (...)