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Graphène DANGER !!!

dimanche 25 avril 2021, par Robert Paris

Les dangers des produits contenant du graphène

Le graphène est à l’échelle nano qui est celle des cellules vivantes. Il y a un risque de pénétration de la membrane cellulaire. Il y a donc interaction avec le vivant et possibilités de transformations du vivant ainsi que de cancers. Il y a des risques respiratoires.

Santé Canada rappelle les masques contenant du graphène alors qu’il évalue les risques pour les personnes…

Source :

https://www.fr24news.com/fr/a/2021/04/sante-canada-rappelle-les-masques-contenant-du-graphene-alors-quil-evalue-les-risques-pour-les-personnes-2.html

Ces masques posent des problèmes pour la santé…

Source :

https://www.newswire.ca/news-releases/advisory-face-masks-that-contain-graphene-may-pose-health-risks-805860103.html

Source :

https://medium.com/edge-of-innovation/how-safe-are-graphene-based-face-masks-b88740547e8c

Des masques qui représentent un risque pour la santé sont retirés des écoles… mais pas du marché…

Source :
https://lactualite.com/actualites/des-masques-qui-representent-un-risque-pour-la-sante-sont-retires-des-ecoles/

Des ONG demandent à l’Europe d’interdire les masques contenant du graphène, mais l’Europe n’a pas encore répondu positivement et attend… des malades et des morts…
Elle laisse les industriels utiliser des produits dont la sécurité n’est pas garantie et n’a même pas été étudiée scientifiquement…

Source :
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/04/13/covid-19-des-ong-demandent-a-l-europe-d-interdire-les-masques-contenant-du-graphene_6076596_3244.html

Pendant ce temps, le graphène s’introduit actuellement un peu partout…

« Le graphène est auréolé de mille vertus qui font saliver Airbus, Thales, ST Microelectronics, Nokia ou Samsung. D’abord, c’est un excellent conducteur. Les électrons s’y déplacent très facilement. « En plus de transporter aisément le courant, mieux que le cuivre, le graphène peut évacuer les charges électriques, si bien que le plastique des vitrages ou des implants cardiaques, par exemple, s’abîmerait moins vite, explique Erik Dujardin. Il évacue aussi très bien la chaleur, ce qui pourrait servir à limiter la perte d’énergie des appareils qui s’échauffent. » Vous avez dit léger ? « Si on faisait un hamac en graphène d’un mètre carré, il pèserait 0,8 milligramme », illustre Giancarlo Faini, directeur scientifique adjoint à l’institut de physique du CNRS. D’accord, mais est-il costaud ? « C’est un agencement régulier d’atomes de carbone, or la liaison carbone-carbone est une des plus résistantes de la nature. Si on faisait une sorte de film alimentaire en graphène, on pourrait y mettre un poids de deux tonnes sur une pointe d’un millimètre », poursuit le chercheur, des étoiles plein les yeux. Deux cent fois plus résistant à la rupture que l’acier, le graphène est aussi particulièrement transparent car il n’absorbe que 2,3% de la lumière. »

Source :
https://www.liberation.fr/futurs/2014/06/01/graphene-le-sesame-high-tech_1031423/

Certains font même son éloge contre la pollution et les virus…

Source :
https://alternativi.fr/le-graphene-un-materiau-qui-lutte-contre-la-pollution-et-les-virus/512

« Souvent décrit comme un matériau miracle, le graphène est censé changer notre futur, ou au moins celui de l’électronique. Grâce aux travaux d’une équipe américano-chinoise, cette feuille de carbone pourrait même entrer dans la légende en constituant la structure des implants qui, nous promet-on, surveilleront un jour notre santé. »

Source :
https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-graphene-veiller-notre-sante-64495/

« L’Institut de l’Amiante, un organisme associant industriels, syndicats et pouvoirs publics pour la promotion de l’utilisation sécuritaire de l’amiante, a mis en évidence les risques liés aux matériaux de substitution à l’amiante, et notamment ceux liés aux fibres de carbones et de graphites qui peuvent être la cause d’une détérioration de la fonction pulmonaire chez les travailleurs (« ILO, Safety in use of mineral and synthetic fibres, 1989 », p. 40)… Le HCSP estime que deux études récentes laissent penser qu’existe « un danger cancérogène potentiel » comparable à celui induit par l’amiante inhalée, tout en suggérant des recherches complémentaires. »

Source :
http://www.aplt.org/Graphene.pdf

« Une enquête démontre que le graphène est capable de percer facilement les membranes cellulaires humaines et peut donc constituer un danger. Les chercheurs ne veulent cependant pas renoncer sur le champ à cette substance. La Brown University américaine constate que les bords aigus du graphène peuvent percer les cellules, ce qui permet à la substance de s’introduire dans la cellule et d’en perturber la fonction normale. Les chercheurs évoquent la menace d’une nano-toxicité. »

https://datanews.levif.be/ict/actualite/le-graphene-peut-s-averer-dangereux-pour-les-cellules-humaines/article-normal-290177.html?cookie_check=1618812970

« L’équipe de chercheurs dirigée par Agnes Kane, directeur du département de pathologie et du laboratoire de médecine de l’université de Brown, a commencé par modéliser le graphène et son interaction avec une cellule vivante grâce à des simulations informatiques. Il a ainsi été démontré que le graphène a la faculté de pénétrer dans des parois composées de cellules organiques. »

Source :
https://www.silicon.fr/le-graphene-une-menace-pour-la-sante-et-lenvironnement-87943.html#

« Lorsque le graphène oxydé, utilisé dans notre expérience, dépasse une certaine taille, on observe, au bout d’un moment, une réaction de type inflammatoire des cellules épithéliales. »

Source :
https://lejournal.cnrs.fr/articles/le-graphene-est-il-toxique

Les masques contenant du graphène sont dangereux pour la santé

Source :
https://www.quebechebdo.com/local/quebec-hebdo-local/249445/avis-les-masques-contenant-du-graphene-risques-pour-la-sante/

La science est lancée dans les nanos…

« Construire des centres d’intégration hébergeant des chercheurs publics et privés sur les trois centres Nano-INNOV : (Saclay, Grenoble et Toulouse), assurer la construction d’ici 2011 du troisième bâtiment Nano-INNOV sur Saclay, l’extension du bâtiment INRIA qui accueillera une plateforme nano-simulation de la région parisienne et les Centres d’Intégration de Grenoble et Toulouse. Ceci permettra, notamment, de développer l’aspect nanobiosciences autour du Canceropôle de Toulouse.
Construire, sur le plateau de Saclay, un centre de recherche en nanosciences regroupant les équipes de l’Institut d’Electronique Fondamentale (IEF) d’Orsay, le Laboratoire de Physique et Nanostructures (LPN) de Marcoussis et leurs centrales de nanotechnologies, afin de renforcer la recherche fondamentale dans tous les domaines des nanosciences, en appui, notamment, du centre Nano-INNOV de Saclay. Les différentes étapes visant à mettre en place le campus s’inscrivent dans plusieurs opérations : l’opération d’intérêt national de Massy Palaiseau Saclay Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (plus large que le campus), le projet de cluster scientifique et technologique sur le plateau de Saclay, par le plan campus qui permet l’investissement de 850 millions d’euros, et par le « grand emprunt » qui permet l’investissement d’un milliard d’euros. Plusieurs établissements d’enseignement supérieur doivent être déménagés sur le campus, comme l’École normale supérieure de Cachan, l’ENSTA ParisTech, Agro Paris Tech, l’École centrale Paris, l’ENSAE ParisTech, Mines ParisTech et Télécom ParisTech, et tout ou partie de l’université Paris-Sud 11. Plusieurs structures ont été créées pour ce projet : • Etablissement Public Paris-Saclay • Fondation de Coopération Scientifique du Plateau de Saclay. • consortium des établissements du Plateau de Saclay qui réunit par ailleurs les 23 établissements L’arrivée de 12 000 étudiants et de 2 500 enseignants chercheurs provoque un besoin évident en infrastructures. »

Source :
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3475

En fait, les recherches sur ce thème en sont à peine à leurs débuts alors que l’utilisation massive commence…

« Vous faites référence aux quelque 6 000 articles de recherche publiés sur des études sur la toxicité des nanomatériaux. Savez-vous combien d’entre eux, ou encore d’autres, ont examiné la toxicité des produits qui contiennent les nanomatériaux dans leur matrice matérielle ? La grande majorité des documents de recherche sur la toxicité des nanomatériaux se sont concentrés sur les matériaux précurseurs et non sur les matériaux libérés d’une matrice. Ceci est approprié à un certain niveau - pour comprendre la nature dangereuse d’un matériau, vous devez être en mesure de comprendre comment ses propriétés interviennent dans son comportement au sein d’un système biologique, et développer ce niveau de connaissances scientifiques signifie commencer par des éléments bien définis. matériaux immaculés. Là où je pense que la communauté de recherche a encore du mal, c’est dans la conception d’expériences qui offrent un aperçu de ce qui se passe lorsque ces matériaux sont incorporés dans un produit, puis que des matériaux complexes et hétérogènes sont libérés du produit dans l’environnement. Nous progressons cependant. La recherche sur la manière dont les nanomatériaux modifiés interagissent avec les systèmes biologiques - et comment cela module à son tour leur comportement - devient de plus en plus sophistiquée, en particulier avec les progrès dans des domaines tels que le criblage à haut débit. Et un nombre croissant d’études d’exposition caractérisent ce qui est libéré lorsque des produits à base de nanomatériaux sont utilisés et éliminés. Mais les chercheurs doivent encore combler le fossé entre les expositions potentielles dans le monde réel et comprendre comment celles-ci peuvent avoir un impact sur la santé humaine ou l’environnement. »

Source :
https://www.thegraphenecouncil.org/page/GrapheneToxicity

« Dans un contexte d’incertitudes liées à des risques potentiels encore mal compris, plusieurs milieux de travail manipulent des nanomatériaux sans avoir au préalable implanté des mesures de prévention spécifiques. »

Source :
https://www.irsst.qc.ca/media/documents/PubIRSST/R-840.pdf

Vous me direz : les autorités ont certainement fait attention à cela…

En fait, elles préconisent simplement des déclarations annuelles des industriels sur la présence de certains types de nanomatériaux à une certaine dose… Il n’est pas nécessaire de prouver que le produit n’est pas dangereux pour la santé !!!

https://www.cancer-environnement.fr/402-Nanomateriaux.ce.aspx

Cela n’empêche nullement la diffusion massive de produits avec des nanomatériaux…

Source :
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article2701

Des études scientifiques cautionnent même l’utilisation des nanomatériaux dans les aliments et autres produits alors qu’on n’a aucun recul en la matière et que les nanos interfèrent sur les virus et les bactéries et tout le vivant...

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